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frederic (fred) Kohli

11 place henri breton 88130 Charmes

 

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Téléphone :  06 - 89 - 94 - 39 - 79

Email : adresse@fredpatissier.fr

 vous pouvez dispose de certain document

cap et brevet des colléges
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curriculum vitea:

curriculum vitea:

 

 

 

17 janvier 2020 au ...indeterminé:  

patissier a la boulangerie Jeanne ,Dominique Duchene,  sarl P&B

251 voie Carpini parc de l'hermitage, 88130 Charmes

 

02 mai 2018 au 26 aout 2019;

pâtissier a la Boulangerie Cherfils

2 place de la mairie, 38390 Montalieu-Vercieu

 

19 septembre 2017 au 15 avril 2018;

aide et remplacement maladie ; dans le labo de Salge joseph

l'isle aux  desserts route de la cathedrale, 20217 st florent

 

12 decembre 2016 au 18 avril 2017;

aide patisserie au fournil de vincent,eurl de vincent Potier

6 route  D913 ,54770 Bouxiere aux chenes

 

01 octobre 2015 au 11 decembre 2016;

patissier en boulange, pour EURL Rozot.

2 rue du chateau des princes, 54840 gondreville

 

14 septembre 2015 au 26 septembre 2015;

...pas ...tissier.dans la boulangerie de SARL Deza

57 place de la gare, 54460 Liverdun

 

12 juin 2013 au 31 aout 2015;

responsable patissier et aide glacier pour l'isle aux desserts de joseph Salge

route de la cathedrale 20217 St Florent

 

01 septembre 2011 au 03 avril 2013;

patissier chez LOUIZON ; marie paul Aubry

boulangerie du rabaudeau,38 avenue generale de gaule 88420Moyenmoutier

 

18avril 2011 au 20 juillet 2011;

assistant cuisine dans le restaurant du best western de gerard Claudel 

rue Bazaine ,le saut le cerf,88002 Epinal

 

 01juin 2010 au 31 janvier 2011

patissier au manege des pains, boulangerie de thierry Gay

5 rue des froides bouillies, 9120 Athis Mons

 

11 aout 2009 au 30 avril 2010;

ouvrier patissier . boulangerie de Mr Dumas didier

6 rue de la commune, 34350 Vendres

 

01 avril 2004 au 31 juillet 2009;

patissier a la boulange de patrick Langlest dans le 74

sarl matrine ,11 rue des pommaries, 74940 annecy-le-vieux

 

01 avril 2002 au 02 mars 2004

patissier chez le repreneur  , sarl Colomar francois

7 rue du generale haxo,88000 Epinal

 

13 juillet 1999 au 30 mars 2002

patissier dans la boulangerie de Mr Langlest patrick

7 rue du generale haxo, 88000 Epinal

 

01 octobre 1997 14 fevrier 1999;

boulanger-patissier SARL Gourmandise

15 rue francois Blaudez 88000 epinal

 apprentissage du 01 octobre 1995 au 30 septembre 1997;

sarl gourmandise de Eric Vaxelaire  boulangerie-salon de thé

 

Hébergeur du site

https://www.ionos.fr/

IONOS SARL, Service client 

7, place de la Gare,

BP 70109, 57200 Sarreguemines Cedex

informations:

Loi sur l’appellation boulangerie


Loi Adoptée le 25 mai 1998.
Loi déterminant les conditions juridiques de l'exercice de la profession d'artisan boulanger (texte définitif) Loi n°98-405 du 25 mai 1998 déterminant les conditions juridiques de l'exercice de la profession d'artisan boulanger
NOR : ECOX9802941L
L'Assemblée nationale et le Sénat ont adopté Le Président de la République promulgue la Loi dont la teneur suit : Article unique Le chapitre Ier du titre II du livre Ier du code de la consommation est complété par une section 10 ainsi rédigée :
Section 10 Article L.121-80 Ne peuvent utiliser l'appellation de "boulanger" et l'enseigne commerciale de "boulangerie" ou une dénomination susceptible de porter à confusion, sur le lieu de vente du pain au consommateur final ou dans des publicités à l'exclusion des documents commerciaux à usage strictement professionnel,
les professionnels qui n'assure pas eux-mêmes, à partir de matières premières choisies, le pétrissage de la pâte, sa fermentation et sa mise en forme ainsi que la cuisson du pain sur le lieu de vente au consommateur final;
les produits ne peuvent à aucun stade de la production ou de la vente être surgelés ou congelés.
Article L.121-81 Cette dénomination peut également être utilisée lorsque le pain est vendu de façon itinérante par le professionnel, ou sous sa responsabilité qui remplit les conditions précisées à l'article L.121-80
Article L 121-82 La recherche et la constatation des infractions aux dispositions des articles L.121-80 et L.121-81 sont exercées dans les conditions prévues à l'article L.121-2 et punies des peines prévues à l'article L.213-1 et, le cas échéant; au second alinéa de l'article L.121-6.
Article L.121-2 : Les agents de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, ceux de la direction générale de l'alimentation du ministère de l'agriculture et ceux du service de métrologie au ministère de l'industrie sont habilités à constater, au moyen de procès-verbaux, les infractions aux dispositions de l'article L. 121-1. Ils peuvent exiger de l'annonceur la mise à disposition de tous les éléments propres à justifier les allégations, indications ou présenattions publicitaires. Ils peuvent également exiger de l'annonceur, de l'agence de publicité ou du responsable du support la mise à leur disposition des messages publicitaires diffusés. Les procès-verbaux dressés en application du présent article sont transmis au procureur de la République.
Article L.121-6 : Les infractions aux dispositions de l'article L.121-1 sont punies des peines prévues à l' article L.213-1 . Le maximum de l'amende prévue à cet article peut être porté à 50% des dépenses de la publicité constituant le délit.
Article L.213-1 : Sera puni d'un emprisonnement de deux ans et d'une amende de 38112 € ou de l'une de ces deux peines seulement quiconque, qu'il soit ou non partie au contrat, aura trompé ou tenté de tromper le contractant, par quelque moyen ou procédé que ce soit, même par l'intermédiaire d'un tiers :
1) Soit sur la nature, l'espèce, l'origine, les qualités substantielles, la composition ou la teneur en principes utiles de toutes marchandises ;
2) Soit sur la quantité des choses livrées ou sur leur identité par la livraison d'une marchandise autre que la chose déterminée qui a fait l'objet du contrat ;
3) Soit sur l'aptitude à l'emploi, les risques inhérents à l'utilisation du produit, les contrôles effectués, les modes d'emploi ou les précautions à prendre.
Journal officiel de la République française du 14 septembre 1993.

La congélation-surgélation



Une pratique sous haute surveillance Pour congeler ou surgeler, vous devez observer un certains nombres de règles, très précises, dont le non respect,peut se révéler lourde de conséquences. La pratique de la congélation doit faire l'objet d'une déclaration (imprimé Cerfa ¹50-4113} auprès de la Direction Départementale des sévices vétérinaires (les imprimés sont à la disposition des intéressés dans chacune des Directions Départementales ou au Syndicat de la Boulangerie).
Le boulanger-pâtissier doit impérativement posséder un équipement adapté, c'est-à-dire une cellule de congélation rapide. L'appareil de congélation doit permettre d'assurer la température du produit à une valeur au plus également à -10°C pour les produits congelés, à -18°C pour les produits surgelés, en moins d'une heure.
Les denrées congelées ou surgelées doivent être identifiées sur leurs emballages d'une étiquette sur laquelle figure la dénomination du produit et la date de congélation suivie de la lettre C. En tous points du produit, les températures doivent être maintenues au moins à : > -20°C pour les glaces et les crèmes glacées, > -18°C pour toutes denrées surgelées d'origine animale, > -18°C pour les produits de la pêche, > -18°C pour les plats cuisinés, > -14°C pour les beurres, graisses alimentaires y compris la crème destinée à la beurrerie, > -12°C pour les ovoproduits, abats, lapins, volailles, gibiers, > -10°C pour les viandes, > -10°C pour les autres denrées.
La décongélation La décongélation à température ambiante est interdite. Elle doit se faire dans une enceinte réfrigérée en froid positif (entre 0"C et +4°C) ou au micro-ondes pour une décongélation rapide.
Nos lecteurs trouveront dans le Guide de "Bonnes Pratiques d'Hygiène en Pâtisserie" une fiche «opération Congélation ventilée - Décongélation» qui regroupe de précieux conseils sur ces sujets. Nous vous rappelons que ce Guide de "Bonnes Pratiques" est disponible au Syndicat.
Le boulanger n°877


Vous utilisez du surgelé (affichez l'igloo)
Cette obligation d'afficher la mention "décongelé" dont le non-respect est constitutif d'un délit, est destinée à éviter le risque sanitaire. Il ne faut pas qu'un produit déjà congelé puisse être recongelé. De plus, la congélation puis la décongélation d'une denrée alimentaire peuvent provoquer une séparation de certains ingrédients et de ce fait entraîner une détérioration des caractéristiques gustatives; voire hygiéniques par rapport à un produit similaire frais. Ainsi le consommateur doit être averti si le produit a été congelé ou non. Par ailleurs, lors de la fabrication de certaines pâtisseries, des éléments sont refroidis pour des raisons techniques, à des températures négatives afin de renforcer leur consistance et de permettre ainsi leur mise en forme leur découpage ou leur incorporation dans un gâteau. Le produit est ensuite conservé normalement à + 3°C. Il en est ainsi, par exemple, des mousses. Dans ce cas, et sous réserve que cette opération particulière soit bien effectuée au cours du processus de fabrication, l'indication de la mention "décongelé" dans la dénomination de vente, n'est pas nécessaire. Bien entendu, si ces produits sont stockés en congélation, leur mise en vente impliquera la mention "décongelé".
Pour résumer : 1- Le produit est congelé après sa totale élaboration : Celui-ci est remis au consommateur à l'état décongelé, il faut rajouter la mention "décongelé" à la dénomination de vente 2- II y a utilisation d'ingrédients congelés sans congélation du produit fini. Si tous les ingrédients employés sont congelés puis décongelés pour être ensuite assemblés, il faut rajouter la mention "décongelé" à la dénomination de vente. Toutefois, lorsque seule une partie des constituants de la pâtisserie est conservée par congélation puis décongelée pour fabriquer le produit fini, la mention "décongelé" n'est pas obligatoire. Tel est le cas d'un produit du type "éclair" qui serait élaboré à partir de pâte cuite préformée congelée/décongelée, puis garnie d'une crème venant d'être préparée.
Exemples de produits dispensés de la mention "décongelé" * Gâteaux du type éclairs, religieuses, cygnes, choux, etc. confectionnés à partir de pâte à choux et de crème pâtissière ou de crème chantilly, lorsque seule la pâte à choux a été congelée crue ou cuite. *°Mille-feuilles confectionnés à partir de crème pâtissière traditionnelle et de feuilletage cuit congelé. * Conversation, galette des rois, pithiviers et produits comportant de la crème d'amande congelée avant cuisson. * Babas congelés crus. * Babas congelés cuits avant trempage. * Savarins congelés avant ou après trempage mais avec adjonction ultérieure de crème ou de fruits.* Viennoiseries classiques congelées avant cuisson. * Viennoiseries fourrées congelées avant cuisson. * Viennoiseries fourrées congelées après cuisson mais avant garnissage ultérieur de crème ou de confiture. * Flans et produits dérivés congelés avant cuisson. * Tartes aux fruits crus dont seuls les fonds ont été congelés. * Tartes meringuées ou garnies de crème chibouste lorsque le fond de tarte a été congelé cru ou cuit mais avant l'apport final de la garniture. * Timbales en chocolat ou nougat garnies, congelées avant l'apport final de crème.
Les échos de la boulange n°108...

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Appellations des glaces:

Les appellations de ces produits ont fait l’objet d’un code des pratiques loyales des glaces alimentaires qui a été élaboré conjointement par la Confédération Nationale des Glaciers de France (CNGF), le Syndicat National des Fabricants de Produits Surgelés (SNFPS) et le Syndicat des Fabricants Industriels de Glaces (SFIG) en juin 2000. Ce code a été mis à jour en mars 2008. Ce guide donne tout d’abord une définition générale des glaces alimentaires, à savoir qu’il s’agit de denrées dans la composition desquelles peuvent entrer tout ingrédient alimentaire (dont les additifs et arômes) autorisé par la réglementation en vigueur, d’une consistance pâteuse ou solide obtenue par congélation ou surgélation, stockées, transportées, distribuées et consommées sous forme congelée.
En fonction de leur composition, ces produits bénéficient de diverses appellations, notamment :
- La dénomination « glace à l’eau » est réservée à un produit dont l’extrait sec total est au moins égal à 12 %. Le poids minimal par litre est de 450 g. La dénomination « glace » est réservée au produit qui contient des matières grasses alimentaires (matière grasse provenant du lait ou d’ovoproduits ou toute autre matière grasse d’origine exclusivement végétale, ou d’un mélange entre elles), des sources de protéines provenant d’ovoproduits, des matières aromatisées dans lesquelles des matières grasses ou des protéines sont naturellement présentes, de la gélatine. Le poids minimal par litre est de 450 g.
- La dénomination « glace au lait » est réservée au produit qui ne contient que des matières grasses laitières et pour au moins 2,5 %, de l’extrait sec dégraissé du lait pour au moins 6 % et des sources de protéines provenant d’ovo produits, des matières aromatisées dans lesquelles des matières grasses ou des protéines sont naturellement présentes, de la gélatine. Le poids minimal par litre est de 450 g.
- La dénomination « glace aux oeufs » est réservée au produit qui contient au moins 7 % de jaune d’oeuf, uniquement des matières grasses laitières, des sources de protéines provenant d’ovoproduits, des matières aromatisantes dans lesquelles des matières grasses ou des protéines sont naturellement présentes, de la gélatine. Le poids minimal par litre est de 550 g.
Nous évoquerons dans un prochain article d’autres appellations définies par le code des pratiques loyales des glaces alimentaires, notamment les crèmes glacées et les produits contenant des fruits.

Affichages obligatoires
Les prix Une affichette en vitrine, visible de l'extérieur, une affiche à l'intérieur du magasin, affichage sur les étagères à pain avec indiqués
dénomination exacte de la catégorie de pain, son poids, sauf pour les pièces de moins de 200 g, son prix de vente à la pièce ou au kilo pour la vente au poids, son prix de vente théorique au kilo pour les pièces d'un poids supérieur à 200 g.
L'affiche intérieure doit être blanche imprimée de noir. Son format doit être au moins de 40 cm x 30 cm. Elle doit être bien visible du consommateur. Les lettres doivent mesurer 1 cm de haut et 0,5 cm de large. Les chiffres doivent mesurer 2 cm de haut et 1 cm de large. L'affichette apposée en vitrine peut comporter les indications réduites de moitié.
Pour la pâtisserie, viennoiserie, chocolats, glaces, revente, le prix doit être indiqué de façon lisible par un écriteau ou une étiquette placée sur le produit ou à proximité. Sur chaque paquet de bonbons, il doit y avoir une étiquette mentionnant le poids, la composition, la date de fabrication. Si vous vendez des pains pré-emballés, vous devez mettre une étiquette mentionnant le poids, la composition, la date de fabrication. Si vous mettez en vente des pâtisseries ayant subi une décongélation, vous devez le signaler par I'ÉTIQUETTE IGLOO et l'affiche explicative qui doit être en vue dans le magasin.
N'oubliez pas de mettre le panneau «PAIN DE TRADITION FRANCAISE» devant cette fabrication respectant le décret, sans qu'il n'y ait de confusion avec vos autres fabrications. Si vous faites votre pain avec toutes les phases traditionnelles sur le lieu de vente, vous pouvez apposer le panneau «PAIN MAISON» sur votre vitrine, porte d'entrée, à l'intérieur
N'oubliez pas d'apposer sur votre porte votre JOUR DE FERMETURE et HORAIRES.D'OUVERTURE..
N'oubliez pas d'afficher «INTERDICTION DE FUMER » et « INTERDIT AUX CHIENS ».
Si vous avez du personne!, son HoRAIRE DE TRAVAIL doit être affiché à sa vue et comporter l'adresse et le numéro de téléphone de la DIRECTION DU TRAVAIL. de la MÉDECINE DU TRAVAIL, le numéro des POMPIERS et du SAMU [comme pour le personnel de fabrication). Apposer également l'affichette mettant à disposition la CONVENTION COLLECTIVE.
En cas de contrôle, vous. devez pouvoir fournir à l'inspecteur: Un registre d'entrée et sortie du personne!; Un registre d'Inspection du Travail: dans lequel vous devez également conserver les justificatifs de vérification des installations électriques (à faire tous les ans). Une convention collective, Les contrats de travail en cours, Les fiches d'aptitudes délivrées par la Médecine du Travail, Vous devez surveiller la TEMPÉRATURE de vos VITRINES RÉFRIGÉRÉES. Assurez-vous que la VIGNETTE VÉRIFICATION de vos BALANCES soit à Jour et que vos balances soient bien réglées {vos papiers et barquettes doivent être tarés}
Respectez bien les DATES LIMITES DE VENTE ou de consommation des marchandises. Conservez vos BANDES DE CAISSE comme justificatifs de l'Administration des Impôts, et ce pendant 10 ans. Vous pouvez également noter sur celles-ci vos restes !e soir.

 

 

 

la coca et la cola.

 

A noter que Coca-Cola utilise également de la gomme arabique en grandes quantités.


 


C'est parce que des chimistes ont depuis longtemps analysé précisément la formule du Coca-cola.
que je me permet de le souligner.
c'est pas utiles a savoir, mais ca peut avoir son petit effets , lors de soirée entre amis.


Néanmoins, voici la recette Coca-cola de Pemberton (qui n'est pas la recette secrète actuelle, car les principes actif des deux plante, ont ètè détruite, par la cuisson, longue du sirop.)


COMPOSITION DU PARFUM :

35 % d'essence de citron
25 % d'essence d'orange
10 % d'essence de muscade
10 % d'essence de cannelle
10 % d'essence d'orange amère
10 % d'essence de coriandre

INGRÉDIENTS DU SIROP

Pour 50 litres d'eau gazeuse
1/3 litre de jus de citron
5 kg de sucre
plus "suffisamment" (?) de caramel
40 g d'extrait fluide de coca (dont on fait la cocaïne !)
30 g d'acide citrique
25 g du parfum ci-dessus
10 g de citrate de caféine (issue de noix de cola)
10 g d'extrait de vanille

a savoir:

L'effet stimulant originel était produit par la cocaïne contenue dans les feuilles de coca et par la caféine des noix de kola.
En 1906, le Coca-Cola, vendu comme tonique pour le cerveau, fut quasiment privé de cocaine (1/400e de grain par once de sirop), cette proportion persistant jusqu'en 1929 [2]. La technologie a désormais supprimé toute cocaïne du Coca-Cola [3]. La caféine subsista avec un taux réduit pour que la boisson conserve sa dimension stimulante.

La compagnie Coca-Cola est le plus grand consommateur mondial d'extrait de vanille naturelle. Ainsi, quand une nouvelle formule fut utilisée en 1984 pour le New Coke, l'économie de Madagascar s'écroula réf. nécessaire. En effet, la nouvelle formule utilisait un substitut synthétique (la vanilline) et les achats d'extrait de vanille furent divisés par deux. Inversement, la sortie récente d'une formule à la vanille a fait monter les prix.

petits trucs peut-etre utile...?

...ou pas! si t'as plus le temps!

vocabulaires:

-A-
Abaisse: Morceau de pâte aplatie, étendue, abaissée de l'épaisseur et de la forme désirée.

Abricoter: Etendre à l'aide d'un pinceau une couche de confiture ou de nappage.
L'abricotage a pour but de donner du brillant à la préparation, d'ajouter de la saveur, d'éviter l'oxydation et de servir de sous couche à un glaçage au fondant.

Appareil: Mélange de plusieurs ingrédients entrant dans la composition d'un dessert. ex: appareil à biscuits

Arroser: Verser en pluie sur un article un sirop ou un alcool: ex: Arroser les babas

Assaisonner: Ajouter un condiment, sel, poivre, muscade à une préparation.
___________________________________________________
B-
Bain-marie: Mode de cuisson dans un récipient à demi rempli d'eau bouillante. Ex: Utiliser pour monter une génoise ou fondre du chocolat.

Battre: Travailler vigoureusement une préparation afin d'y incorporer de l'air. Ex: Blancs en neige, crème fouettée.

Beurrer: Enduire un moule ou un cercle de matière grasse pour empécher qu'il attache. Ce dit également lorsque l'on ajoute du beurre à une pâte. ex: La détrempe de feuilletage.

Beurre clarifié: Beurre fondu et décanté. Le petit lait est enlevé.

Beurre manié: Beurre mélangé avec de la farine pour l'épaississement des sauces. ex: La béchamelle.

Beurre pommade: Beurre ramoli et amené à consistance d'une pommade. Ex:Langue de chat.

Blanchir: Mélanger vigoureusement les jaunes ou oeufs entiers avec le sucre pour les rendre mousseux. Ce dit également d'un fruit frais ou sec que l'on ébouillante dans de l'eau chaude pour enlever leur peau. ex: Amandes, pêches.

Bouler: Travailler une pâte avec le creux de la main pour lui donner une forme de boule. ex: Brioche à tête

Broyer: Ecraser, concasser pour réduire en poudre ou en pâte.

Brûler: Une cuisson quand elle a dépassé le stade du bien cuit. Ce dit également lorsque le mélange jaune d'oeufs et sucre n'est pas fait aussitot, de petits grains jaunes se forment. Egalement lorsque qu'une pâte manque d'eau lors de sa fabrication.
______________________________________________________
C-

Candir: Immerger des intérieurs, fruits, pâte d'amandes dans un sirop de sucre à candir, en vue de les recouvrir d'une couche de fins cristaux scintillants.

Candissoire: Récipient pour candir. Il est accompagné d'une grille de même dimensions afin d'y laisser égoutter les fruits à candir.

Canneler: Découper des fines lamelles dans la peau d'un agrume (citron, orange) à l'aide d'un couteau canneleur.Ce dit également de rainures faites dans une pâte à l'aide d'un rouleau cannelé.

Caraméliser: Enduire un moule de caramel, ou brûler au fer rouge du sucre sur un entremet ex: polka également recouvrir de sucre caramélisé des amandes ou noisettes.

Cerner: Faire une légère incision sur le tour d'une pomme avant de la cuire ex: pomme au four, ou d'une génoise avant de la couper.

Chapelure: Pain séché, écrasé et passé au tamis. utiliser pour paner.

Chemiser: Appliquer à l'intérieur et sur les parois d'un cercle ou d'un moule, une couche de pâte, de beurre, de bicuit, de crème etc...puis remplir ce vide intérieur d'une autre composition.

Chiqueter: Taillader et marquer au couteau le tour d'une pièce de feuilletage avant sa cuisson. Opération favorisant le développement régulier de la pièce et la soudure entre deux abaisses de feuilletage. ex: Galette des rois

Ciseler: Couper finement en dés fruits confits, menthe.

Clarifier: Séparer les blancs des jaunes d'oeufs, enlever le petit lait du beurre, rendre limpide un sirop ou une gelée.

Coller: Ajouter de la gélatine à une préparation.

Concasser: Hacher grossièrement.

Concher: Travailler une couverture de chocolat pour la rendre plus homogène et plus onctueuse.

Corner: Se servir d'une corne pour racler au maximum les parois d'un récipient afin d'y récupérer le maximum d'une préparation.

Corps: Etat d'élasticité d'une pâte après son pétrissage.

Coucher: Dresser sur une plaque à l'aide d'une poche, une pâte à choux, meringues, biscuits etc...

Crêmer: Rendre mousseux et crémeux un beurre ou le mélange beurre, sucre en le fouettant énergiquement.
_______________________________________

_______________
D-
Décuire: Ajouter de l'eau ou un autre liquide à une cuisson de sucre afin de la ramener à un degré de cuisson inférieur.


Dessécher: Travailler énergiquement, sur le feu une pâte (Pâte à choux, pâte de coing...) ou mettre à l'étuve ou au four une marchandise afin d'en faire partir l'eau ou l'humidité. (Meringue,pastillage,fruits séchés...)

Détailler: Découper une abaisse de pâte à l'aide d'un emporte-pièce ou d'un couteau.

Détrempe: Mélange de farine, eau et sel en vue de la fabrication du feuilletage.

Dorer: Étendre de la dorure l'aide d'un pinceau en vue de donner un aspect doré après la cuisson.En chocolaterie, mettre de l'or sur certain chocolat ou sur des décors ex: Palais or.

Dorure: Oeufs battus ou jaune d'oeufs et crème ou lait.

Doubler: Ajouter une deuxième plaque sous la plaque de cuisson afin d'empêcher une cuisson trop forte dessous.

Dresser: Disposer correctement et de façon esthétique des gâteaux sur un plateau ou présentoir. Réaliser à l'aide d'une poche à dresser des formes sur une plaque de cuisson. ex: Dresser des éclairs en pâte à choux.
______________________________________________________E-
Ébauchoir: Outil servant au modelage de la pâte d'amande.

Ébarber: Enlever avec un couteau les coulures et filaments de chocolat qui peuvent subsister après démoulage.

Écumer: Enlever l'écume d'un sirop, dune confiture ou gelée en ébullition à l'aide d'une écumoire.

Effiler: Couper des amandes en tranches très minces à la main ou à la machine.

Écaler: Enlever la coquille des oeufs durs.

Émonder: Enlever la peau des amandes après les avoir ébouillantées, puis refroidies.

Enrober: Recouvrir d'une couche épaisse, de sucre ou de couverture de chocolat.

Équeuter: Ôter la queue du fruit.

Étuver: Cuire doucement avec un couvercle ou mettre à sécher dans une étuve.

F-
Façonner: Donner une forme à une pâte.

Farder: Appliquer une teinte sur des fruits en pâte d'amande ou éléments de décors en sucre ou chocolat.

Fariner: Mettre une couche fine de farine sur le tour pour empêcher celle-ci de coller pendant qu'on la travaille ou dans un moule préalablement beurré afin d'empêcher les préparations de coller ou de s'étaler.

Festonné: Ornés de dents arrondies sur le pourtour des pithiviers.

Flamber: Arroser un dessert avec un alcool chaud puis y mettre le feu ex: Crêpes Suzette.

Fleuron: Pièce de feuilletage en forme de croissant de lune pour garniture de plat en sauce (Poisson).

Fleurer: Comme fariner mais en mettant une couche beaucoup plus fine.

Foncer: Disposer une forme de pâte dans un moule ou un cercle afin qu'elle épouse celui-ci. ex: Foncer une tartelette.

Fontaine: Farine disposer en cercle sur un tour avec un puit au milieu pour y ajouter les autres ingrédients de la recette.

Fourrer: Garnir une pâtisserie a l'aide d'une poche . ex: remplir des éclairs de crème pâtissière.

Fraiser ou fraser: Écraser la pâte en la poussant devant soi avec la paume de la main. Cette opération permet d'incorporer les derniers morceaux de matière grasse non mélangés en obtenant un minimum de corps.

Frémir: État d'un liquide presque à ébullition.
_____________________________________________________
G-
Garnir: Remplir une pâtisserie de crème, ganache ou autre préparation.

Glacer: Napper un dessert de fondant, de glace à l'eau ou de chocolat.Saupoudrer de sucre glace ou mettre du sirop sur une pièce pour la faire caraméliser au four. Cette opération se fait en fin de cuisson. ex:Galette des rois

Grainé: Se dit des blancs d'oeufs trop montés, de la crème anglaise trop cuite, ou d'une cuisson de sucre cristallisée.

Griller: Faire blondir les amandes ou noisettes au four, ou façonner une grille avec des bandelettes de pâtes sur une tarte. ex Tarte de Linz.
______________________________________________________
H-
Hacher: Couper en petits morceaux avec un couteau, fruits confits, amandes, couverture de chocolat...

Huiler: Mettre une fine pellicule dans un moule ou sur le marbre pour l'empêcher d'adhérer.
______________________________________________________
I-

Imbiber: Humecter une préparation de sirop , d'alcool, ou le mélange des deux. ex: Imbiber une génoise.

Infuser: Laisser macérer dans un liquide bouillant des matières aromatiques afin de le parfumer. (Bâton de vanille, cannelle, zeste d'agrumes, thé etc...).

Intérieur: Pâte ou appareil destiné à être enrobé de couverture. ex: Ganache enrobé de couverture pour bombons de chocolats.
_____________________________________________________
J-
k-
L-
Lyophiliser: Traiter des fruits, légumes ou ingrédients par un froid intense qui les transforme npar sublimation et les dessèche.
_____________________________________________________
M-

Macérer: Mettre à tremper des fruits secs, frais ou confits dans un alcool, sirop ou jus de fruit pour leur communiquer un goût.

Macédoine: Mélange de fruits frais ou au sirop découpés en petits dés.

Marbrage: Glaçage au fondant sur lequel on raye avec un coteau des traits parallèles réalisés à l'aide d'un cornet de chocolat. ex: Glaçage du millefeuilles.

Masquer: Recouvrir un entremet de crème à l'aide d'une spatule permettant ainsi sa décoration.

Masse: Se dit d'un mélange d'ingrédients.

Massé: Se dit d'une cuisson de sucre qui a cristallisé.

Modeler: Donner une forme avec les mains ou avec un ébauchoir.

Mouiller: Se dit quand on ajoute de l'eau du lait ou tout autre liquide à une préparation.

Mousser: Travailler un appareil pour le rendre plus léger, plus mousseux.
______________________________________________________
 

N-
Napper: Recouvrir un entremet, un fruit au sirop, une coupe de glace de sauce chocolat, coulis de de fruits, crème etc...
______________________________________________________
O-
P-

Panade: se dit de l'état de la pâte à choux avant d'y incorporer les oeufs.

Paner: Enrober de chapelure.

Passer: Faire traverser un liquide à travers un chinois, une passoire ou étamine en vue d'enlever les impuretés.

Parer: Supprimer les éléments inutiles en vue d'une meilleure présentation (Couper les bords)

Parures: Se dit des chutes, rognures de pâte

Pasteurisation: Consiste à porter le température d'un mélange à 60°,65° pendant 30 minutes pour la pasteurisation basse et 80°,85° pendant 3 minutes pour la pasteurisation haute. Suivi d'un refroidissement immédiat et rapide à 6°.

Pâton: croissant Détrempe de feuilletage , tourer avec le beurre de tourage.

Peler: Retirer la peau des fruits. Éplucher.

Pincer: Provoquer avec une pince ou les doigts, de petites excroissances sur le rebord d'une tarte. Cette opération sert à décorer la tarte mais aussi a favoriser le maintiens des bords de la tarte à la cuisson.

Piquer: marquer des trous dans une abaisse de pâte (Feuilletage, pâte sucrée) pour empêcher buller ,gonfler ou de rétracter

Pousse: Représente le développement d'une pâte leée.


Puncher: Imbiber de sirop alcoolisé ex: baba au rhum, genoise
______________________________________________________
Q-
R-

Rafraîchir: Ajouter une préparation fraîche à une plus ancienne, également mettre au frais ou refroidir.

Rayer: Exécuter un décor avec la pointe d'un couteau, sur une pâte après l'avoir doré. Ex: Rayage d'une galette des rois, d'un pithivier...

Réduire: Faire évaporer l'eau par ébullition en vue de concentrer le goût ou le volume.

Régénérer: Restituer la température de consommation à des aliments préparés et stockés au réfrigérateur ou congélateur.

Rélâcher: Se dit d'une pâte qui ramolit après son pétrissage.

Repère: Farine délayée avec du blanc d'oeufs et de l'eau en vue de fermer une casserole ou terrine à son couvercle. Ceci de façon hermétique.

Retomber: Appareil ou pâtisserie qui redescend après avoir monté.

Rioler: Décorer avec des bandelettes de pâte croisées. ex:conversation,tartelette,grillé aux pommes...

Rognure: Se dit des chutes, rognures de pâte ou de dessert.

Rompre: Faire reprendre son état primitif à une pâte après un certain temps de pousse pour lui donner plus de force.

Ruban: Etat d'une préparation suffisamment fouettée et blanchie pour que, élevée avec un fouet, celle-ci retombe comme un ruban se pliant sur lui-même.

______________________________________________________S-
Sabler: Mélanger à sec le beurre et la farine dans la préparation de certaines pâtes ex: pâte brisée, pâte sablée...
Ce dit également de la cristallisation du sucre dans la préparation du praliné en confiserie.

Salpicon: Éléments de fruits frais ou confits coupés en dés réguliers et fins.

Siroper ou siroter: Imbiber avec un sirop ou un alcool un biscuit ou un dessert.

Saupoudrer: Recouvrir en parsemant de poudre (sucre glace, cacao, amandes en poudres, coco râpée...)

Suer: Première cuisson lente de légumes pour qu'ils transpirent ex: Les oignons pour quiches et tartes aux oignons...

_____________________________________________________
T-
Tamiser: Action de se servir d'un tamis en vue d'enlever les grumeaux d'un produit.

Tamponner: Passer un morceau de beurre sur une crème pâtissière ou une sauce encore chaude afin d'éviter la formation d'une croûte

Tabler ou Mettre au point: faire refroidir une couverture de chocolat en la renversant sur un marbre ou une table et la travailler avec un triangle inox.

Tourer: Allonger en rectangle régulièrement un pâton de feuilletage, puis le plier en trois ou quatre. Pour donner des tours.

Tremper: Imbiber les babas et savarin de sirop. se dit également de l'enrobage de bombons avec de la couverture chocolat, du fondant ou du sucre cuit.

______________________________________________________U-
Upériser: Procédé de stérilisation du lait en portant le lait à 150° pendant une fraction de seconde.
_____________________________________________________
v-
Vanner: Remuer une crème avec une spatule pour la rendre homogène, empêcher la formation d'une peu et la refroidir.

Videler: Former avec les doigts sur les bordes d'une abaisse, une sorte de rebord obtenu en repliant la pâte sur elle-même.

Voiler: Entourer une pièce d'un voile fait de sucre filé. Ex: Pièce montée, croque en bouche...

______________________________________________________
W-
X-
Y-
Z-
Zester: Enlever au moyen d'un couteau zesteur, la fine pellicule colorée d'un agrume en vue d'en extraire l'arôme.us à utiliser des outils et des techniques de menuiserie.

adresse utiles:

chambre de commerce

trucs a savoir



01
Groupement des Artisans Boulangers-Pâtissiers de l'Ain
24, avenue de Trévoux 01000 SAINT DENIS LES BOURG
Tél. : 04.74.21.45.07 Fax. : 04.74.21.30.82 E-mail: groupement.boulangers.01@orange.fr
02
Fédération Patronale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de l'Aisne
73, rue de Crécy BP 17 02002 LAON CEDEX
Tél. : 03.23.20.28.97 Fax. : 03.23.20.63.98 E-mail:  boulangerie02@wanadoo.fr
03 ???
04
Syndicat des Patrons Boulangers-Pâtissiers des Alpes-de-Haute-Provence
70, rue Droite 04200 SISTERON
Tél. : 04.92.61.23.51 Fax. : 04.92.61.12.88 E-mail: apc.sisteron@wanadoo.fr
05
Syndicat de la Boulangerie-Pâtisserie des Hautes-Alpes
5, avenue du Général de Gaulle 05200 EMBRUN
Tél. : 04.92.53.72.00 Fax. : 04.92.53.72.00 E-mail:  artisans-boulangers05@orange.fr
06
Syndicat des Maîtres Boulangers et Boulangers-Pâtissiers des Alpes-Maritimes
13, avenue Mirabeau 06000 NICE
Tél. : 04.93.13.67.00 Fax. : 04.93.80.68.15 E-mail:  maisonboulangerie06@wanadoo.fr
07
Groupement Professionnel de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de l'Ardèche
20 rue du 14 juillet
BP 49 à 07302 TOURNON CEDEX
Tél. : 04.75.07.54.43 Fax. : 04.75.08.01.74 E-mail: gpt.boulangerie07 @ gmail.com
08
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers des Ardennes
13, rue Emile Nivelet 08000 CHARLEVILLE-MEZIERES
Tél. : 03.24.56.86.26 Fax. : 03.24.56.86.27 E-mail: cgahbp.08@wanadoo.fr
09
Syndicat des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers d'Ariège-Pyrénées
2 bis, rue Jean Moulin BP 133 09003 FOIX CEDEX 03
Tél. : 05.34.09.81.82 Fax. : 05.61.02.91.11 E-mail:  upa-09@wanadoo.fr
10
Fédération patronale de la Boulangerie-Pâtisserie de l'Aube
23, rue des Noës 10300 SAINTE SAVINE
Tél. : 03.25.79.23.57 Fax. : 03.25.74.69.04 E-mail:  cgbpa@wanadoo.fr
11
La Aude Maison de la Boulangerie et de la Pâtisserie de l'
Rue Faraday ZA L'Arnouzette 11000 CARCASSONNE
Tél. : 04.68.25.15.19 Fax. : 04.68.47.39.49 E-mail: boul.aude@wanadoo.fr
12
Syndicat des Patrons Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de l'Aveyron
Chambre de Métiers ZI de Cantaranne 12850 ONET LE CHATEAU
Tél. : 05.65.67.20.89 Fax. : 05.65.78.44.72 E-mail:  syndicat-boulangers-bouchers@wanadoo.fr
13
Union Départementale des Syndicats des Maîtres-Artisans Boulangers des Bouches-du-Rhône
La Maison du Boulanger des Bouches-du-Rhône BP 2395 13215 MARSEILLE CEDEX 2
Tél. : 04.91.90.14.71 Fax. : 04.42.83.67.81
14
Maison Artisanale de la Boulangerie-Pâtisserie du Calvados
16, rue Richard Lenoir BP 351 14016 CAEN CEDEX
Tél. : 02.31.93.52.44 Fax. : 02.31.93.50.22 E-mail: maison-de-la-boulangerie@wanadoo.fr :  http://www.boulangerie14.org
15
Fédération des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Cantal
45, avenue de la République BP 511 15005 AURILLAC CEDEX
Tél. : 04.71.45.65.09 Fax. : 04.71.45.65.12 E-mail: syndicats.artisans.15@cm-cantal.fr
16
Maison des Artisans Boulangers de la Charente
8, rue de la Tranchade 16000 ANGOULEME
Tél. : 05.45.92.25.20 Fax. : 05.45.92.25.20
17
Fédération départementale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de Charente Maritime
51, rue Colbert 17024 LA ROCHELLE CEDEX
Tél. : 05.46.52.00.10 - choix 1 Fax. : 05.46.67.54.96 E-mail: fdb17@wanadoo.fr:  http://perso.wanadoo.fr/fdb17
18
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers du Cher
26, rue de l'Ile d'Or 18000 BOURGES
Tél. : 02.48.24.05.73 / 08.77.35.79.22 Fax. : 02.48.24.05.73
19
Chambre Patronale de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie de la Corrèze
82, avenue Georges Pompidou 19100 BRIVE
Tél. : 05.55.24.38.75 Fax. : 05.55.24.38.75 E-mail: syndicat.boulangerie@wanadoo.fr
20
Syndicat Départemental de la Boulangerie-Pâtisserie de Corse-du-Sud
Syndicat départemental des Métiers de la Boulangerie-Pâtisserie de la Haute-Corse
16, route d'Alata 20090 AJACCIO
Le Pain Doré 1, boulevard Paoli 20200 BASTIA
Tél. : 04.95.20.58.00 Fax. : 04.95.22.71.90 E-mail: u.i.s.a@anadoo.fr
21
Union Départementale des Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de la Côte d'Or
15, rue Charles Poisot 21000 DIJON
Tél. : 03.80.59.13.07 E-mail: unionboulangers.21@alicepro.fr
22
Fédération des Boulangers-Pâtissiers des Côtes-d'Armor
32, rue Fardel 22000 SAINT-BRIEUC
Tél. : 02.96.33.05.70 Fax. : 02.96.68.04.19 E-mail: federation.boulangerie22@wanadoo.fr
23
Fédération Patronale des Boulangers-Pâtissiers de la Creuse
28, rue Vincent 23600 Boussac
Tél. : 08.73.03.32.84 E-mail:  fbpcreuse@free.fr
24
Fédération départementale des Patrons Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de la Dordogne
29, rue des Jacobins 24000 PERIGUEUX
Tél. : 05.53.35.45.52 Fax. : 05.53.35.42.36 E-mail: fede.boul.24@wanadoo.fr
25
Union Patronale de la Boulangerie du Doubs
10 bis, avenue Léo Lagrange 25000 BESANÇON
Tél. : 03.81.80.38.40 Fax. : 03.81.53.85.64 E-mail: boulangerie25@wanadoo.fr  http://www.boulangerie.net/25
26
Fédération départementale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de la Drôme
15, rue Quiot 26000 VALENCE
Tél. : 04.75.43.13.64 Fax. : 04.75.55.21.13 E-mail: fed.boulangerie26@wanadoo.fr
27
Maison de la Boulangerie-Pâtisserie Artisanale de l'Eure
42, rue Joséphine BP 871 27008 EVREUX CEDEX
Tél. : 02.32.39.26.47 Fax. : 02.32.38.45.26 E-mail:  syndicat-boulangerie@orange.fr
28
Syndicat de la Boulangerie-Pâtisserie d'Eure et Loir
7, rue Daniel Boutet 28000 CHARTRES
Tél. : 02.37.21.12.69 Fax. : 02.37.21.38.95 E-mail:   boulangeries-28@wanadoo.fr
29
Fédération des Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Finistère
44, route de Croas Kerhornou BP 07 29170 SAINT-EVARZEC
Tél. : 02.98.56.20.21 Fax. : 02.98.56.26.55 E-mail:   fedeartisansboulangers29@wanadoo.fr
30
Union des Maîtres Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Gard
15, rue Paul Painlevé 30000 NIMES
Tél. : 04.66.38.86.38 Fax. : 04.66.38.31.46 E-mail:  UNION-BOULANGERS30@wanadoo.fr
31
Chambre Patronale de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie de la Haute-Garonne
146, avenue des Etats Unis BP 22111 31020 TOULOUSE CEDEX 2
Tél. : 05.61.13.14.90 Fax. : 05.61.13.14.90 E-mail:   chambrepatboulange31@free.fr
32
Fédération des Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Gers
Résidence Hélios Place Masséna 32000 AUCH
Tél. : 05.62.05.01.67 Fax. : 05.62.63.36.50 E-mail:  fedeboul.32@wanadoo.fr
3 3
Maison des Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de la Gironde
Zone d'Activité Solement 60, rue des Queyries 33100 BORDEAUX
Tél. : 05.57.54.38.34 E-mail:  mabp.gironde@orange.fr
34
Fédération de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie Artisanale de l'Hérault
429, rue de l'Industrie 34078 MONTPELLIER CEDEX 3
Tél. : 04.67.06.20.41 Fax. : 04.67.58.77.16 Site internet:  http://www.boulangerielr.fr
35
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers d'Ille-et-Vilaine
19, avenue Janvier 35000 RENNES
Tél. : 02.99.30.43.88 Fax. : 02.99.30.25.82 E-mail: fed.boulangerie.patisserie.35@wanadoo.fr
36
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers de l'Indre
Le Rubens 57, rue de Belle Isle 36000 CHATEAUROUX
Tél. : 02.54.34.14.40 Fax. : 02.54.60.90.03 E-mail: fedeboulangers.36@free.fr
37
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers d'Indre-et-Loire
6, rue du Pont de l'Arche «Les Granges Galand» 37550 Saint-Avertin
Tél. : 02.47.48.05.42 Fax. : 02.47.48.22.64 E-mail: fedeboulangers.37@wanadoo.fr
38
Fédération des Syndicats de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de l'Isère
18 Rue de la Tuilerie
38170 SEYSSINET PARISET
Tél. : 04.56.38.51.40 . : E-mail: fed.boulangerie38@wanadoo.fr 39
Fédération Départementale de la Boulangerie du Jura
17, rue Jules Bury BP 408 39016 LONS LE SAUNIER
Tél. : 03.84.24.54.64 Fax. : 03.84.86.02.52
40
Fédération Départementale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie des Landes
10, allées Brouchet BP 66 40002 MONT DE MARSAN CEDEX
Tél. : 05.58.75.04.53 Fax. : 05.58.06.80.13 E-mail: fede.boulangerie.landes@wanadoo.fr
41
Fédération Départementale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie Française de Loir-et-Cher
34, avenue Maunoury Centre administratif Ancienne Conciergerie 41000 BLOIS
Tél. : 02.54.56.03.46 Fax. : 02.54.56.03.46
42
Fédération Départementale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de la Loire
Gaïa n ° 2 31, rue des Docteurs Charcot 42100 SAINT-ETIENNE
Tél. : 04.77.32.35.53 Fax. : 04.77.37.29.88 E-mail: federationboulangerie.loire@wanadoo.fr
43
Syndicat Départemental des Maîtres Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de la Haute-Loire
17, boulevard Président Bertrand 43000 LE-PUY-EN-VELAY
Tél. : 04.71.02.36.97 Fax. : 04.71.02.36.97
44
Fédération des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de Loire-Atlantique
10, rue de la Jalousie BP 98404 44984 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE CEDEX
Tél. : 02.51.13.31.88 Fax. : 02.51.13.31.99 E-mail:  federation44@boulangerie44.org   http://www.boulangerie44.org
45
Chambre Patronale de la Boulangerie du Loiret
Résidence Val-de-Loire 7, rue Le Moyne de Bienville 45100 Orléans
Tél. : 02.38.56.38.49 Fax. : 02.38.51.88.95 E-mail: boulangerie.loiret@wanadoo.fr
46
Fédération de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie du Lot
82, rue Etienne Brives 46000 CAHORS
Tél. : 05.65.35.06.20 Fax. : 05.65.22.08.28
47
Syndicat Départemental de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie du Lot-et-Garonne
24, rue Roland Goumy 47000 AGEN
Tél. : 05.53.47.66.08
48
Fédération des Boulangers de la Lozère
Syndicat COM'I 4, boulevard du Soubeyran 4800 MENDE
Tél. : 04.66.32.59.54 Fax. : 04.66.42.89.34 E-mail:  syndicatcom1@orange.fr
49
Fédération Professionnelle de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de Maine-et-Loire
50, boulevard du Doyenné BP 80655 49006 NANTES CEDEX 01
Tél. : 02.41.18.27.27 Fax. : 02.41.18.27.29 E-mail: fede.boulangerie49@wanadoo.fr http://www.boulangerie49.com/
50
Maison du Boulanger
Rond Point de Lattre de Tassigny BP 421 50204 COUTANCES CEDEX
Tél. : 02.33.19.05.50 Fax. : 02.33.19.05.58 E-  http://www.boulangerie50.org
51
Fédération Départementale de la Boulangerie de la Marne
2, rue Chanzy BP 89 51007 CHALONS-EN-CHAMPAGNE CEDEX
Tél. : 03.26.69.26.00 Fax. : 03.26.64.64.51
52
Syndicat Patronal de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie du Haut-Marnaise
Route de Langres 52000 CHAUMONT
Tél. : 03.25.32.80.90 Fax. : 03.25.32.13.61 E-mail: CGA.BOULANGERIE@wanadoo.fr
53
Fédération des Boulangers-Pâtissiers de la Mayenne
25, rue Lemercier de Neuville 53000 LAVAL
Tél. : 02.43.02.82.50 Fax. : 02.43.02.84.73 E-mail:  maisonduboulanger53@wanadoo.fr
54
Fédération des Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de Meurthe-et-Moselle
Immeuble "Alain Lalance" Parc des Expositions 54519 VANDOEUVRE Cedex
Tél. : 03.83.15.63.63 Fax. : 03.83.55.41.23 E-mail:  federation.boulangerie-54@wanadoo.fr
55
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers de la Meuse
31, rue des Romains 55000 BAR LE DUC
Tél. : 03.29.79.15.08 Fax. : 03.29.77.17.14 E-mail: boulangerie.meuse@wanadoo.fr  http://www.boulangerie-meuse.com
56
Fédération de la Boulangerie du Morbihan
Siège social: 5, rue Adjudant Chotard - BP 187 à 56005 VANNES CEDEX Bureau: ZA de Beg Runio - 56530 QUEVEN
Tél. : Ss: 02.97.46.46.60 - bur: 02.97.05.19.19 Fax. : Ss: 02.97.63.33.51 - bur: 02.97.05.30.88 E-mail: federation@boulangerie56.com http://www.boulangerie56.com
57
Fédération Patronale des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de la Moselle
11, rue de la Poulue BP 85239 57076 METZ CEDEX 03
Tél. : 03.87.76.37.34 Fax. : 03.87.75.53.02 E-mail:  fede-boulangerie@wanadoo.fr
58
Syndicat des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de la Nièvre
9, place Chapal 58320 Pougues-LES-EAUX
Tél. : 03.86.68.85.35
59
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers du Nord
8, rue Armand Carrel 59000 LILLE
Tél. : 03.20.88.09.14 Fax. : 03.20.88.10.13
60
Fédération de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de l'Oise
Maison de l'Artisan P.A.E. du Tilloy 1, rue Léonard de Vinci BP 611 60006 BEAUVAIS CEDEX
Tél. : 03.44.05.46.51 Fax. : 03.44.05.46.73 E-mail: boulangerie.oise@wanadoo.fr
61
Fédération de la Boulangerie
Maison du Boulanger Rond Point de Lattre de Tassigny BP 421 50204 COUTANCES CEDEX
Tél. : 02.33.19.05.50 Fax. : 02.33.19.05.58 E-mail: maison.du.boulanger.50@wanadoo.fr  http://www.boulangerie50.org
62
Syndicat des Boulangers-Pâtissiers du Pas-de-Calais
6, place du Pont de Cité 62000 ARRAS
Tél. : 03.21.51.75.27 Fax. : 03.21.71.88.25 E-mail:  sbp62@wanadoo.fr
63
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers du Puy-de-Dôme
27, rue Fernand Forest 63540 Romagnat
Tél. : 04.73.91.41.78 Fax. : 04.73.91.09.84 E-mail: fede.boulanger@wanadoo.fr
64
Fédération départementale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie des Pyrénées-Atlantiques
12, avenue du 18ème Régiment d'Infanterie 64000 PAU
Tél. : 05.59.83.89.40 Fax. : 05.59.27.59.37 E-mail: c.sottou@boulangerie64.org :  http://www.boulangerie64.org
65
Syndicat départemental de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie des Hautes-Pyrénées
105, avenue du Régiment de Bigorre 65000 TARBES
Tél. : 05.62.93.22.68 Fax. : 05.62.93.50.33 E-mail:  syndboulhp@wanadoo.fr
66
Syndicat de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie des Pyrénées-Orientales
7, bld du Conflent BP 59912 66962 PERPIGNAN CEDEX 09
Tél. : 04.68.34.59.34 - 04.68.08.19.00 Fax. : 04.68.35.52.05 Site internet:   http://www.upa66.fr
67
Fédération patronale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie du Bas-Rhin
2, Quai Saint-Thomas 67000 STRASBOURG
Tél. : 03.88.15.24.00 Fax. : 03.88.15.24.01 E-mail: boulangerie.bas-rhinoise@wanadoo.fr
68
Fédération Patronale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie du Haut-Rhin
ZAE du Heiden - Parc SECOIA 1, avenue de France 68310 Wittelsheim
Tél. : 03.89.43.81.12/09.62.04.60.14 Fax. : 03.89.61.14.31
69
Chambre Syndicale Patronale de la Boulangerie du Rhône
108 et 110, boulevard du Parc d'Artillerie 69364 LYON cedex 09
Tél. : 04.78.72.29.70 Fax. : 04.78.72.25.96 E-mail:  artboulanger69@wanadoo.fr   http://www.maisondelaboulangerie69.com
70
Fédération des Artisans Boulangers Pâtissiers de la Haute Saône
14, rue Baron Bouvier 70000 VESOUL
Tél. : 03.84.75.04.81 Fax. : 03.84.75.09.35 E-mail:  fede-boul-pat-70@wanadoo.fr
71
Union Départementale des Artisans Boulangers-Pâtissiers de Saône-et-Loire
3, rue de Lyon BP 531 71010 MACON CEDEX
Tél. : 03.85.38.74.24 Fax. : 03.85.38.83.50 E-mail:  union.depart.boulangerie.71@wanadoo.fr
72
Fédération Patronale de la Boulangerie-Pâtisserie de la Sarthe
Espace Vitaxis 39, bd Pierre Lefaucheux 72100 LE MANS
Tél. : 02.43.16.19.00 Fax. : 02.43.16.19.09 E-mail:  federationboulangerie72@orange.fr
73
Maison des Artisans Boulangers de la Savoie
50, rue des Epinettes 73230 BARBY
Tél. : 04.79.71.17.98 Fax. : 04.79.71.18.59 E-mail:  maisondesboulangers73@wanadoo.fr
74
Fédération des Artisans Boulangers-Pâtissiers de la Haute-Savoie
Chambre de Métiers et de l'Artisanat de la Haute-Savoie 28, avenue de France 74000 ANNECY
Tél. : 04.50.23.92.68 Fax. : 04.50.23.92.69
75
Chambre Professionnelle des Artisans Boulangers Pâtissiers de Paris
7, quai d'Anjou 75004 PARIS
Tél. : 01.43.25.43.50 Fax. : 01.43.29.65.49 E-mail:  contact@boulangerie75.or:  http://boulangerie75.org
76
Syndicat patronal de la Boulangerie-Pâtisserie de la Seine-Maritime
150, boulevard de l'Europe BP 1032 76171 ROUEN CEDEX 1
Tél. : 02.35.58.17.60 E-mail:  syndicat76@cannelle.com
77
Maison de la Boulangerie-Pâtisserie de Seine-et-Marne
8 ter, rue Eugène Gonon 77000 MELUN
Tél. : 01.64.37.08.18 Fax. : 01.64.37.08.32
78
Fédération de la Boulangerie des Yvelines
1 bis, rue Guilloteaux Vatel 78150 LE CHESNAY
Tél. : 01.39.23.31.14 Fax. : 01.39.23.26.87 E-mail:   maison.boulang789195@wanadoo.fr
79
Fédération de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie des Deux-Sèvres
3, rue du Cormier BP 1008 79010 NIORT CEDEX
Tél. : 05.49.24.05.24 Fax. : 05.49.33.53.88 E-mail:  federation@cgahbbp.com
80
Chambre Professionnelle de la Boulangerie-Pâtisserie de la Somme
Cité des Métiers 80440 BOVES
Tél. : 03.22.50.40.32 Fax. : 03.22.50.40.34
81
USAT:
Union Syndicale Artisanale Tarnaise
40, avenue de Lattre de Tassigny - 81024 ALBI Cedex 09
tél. 05 63 49 49 00 - fax 05 63 49 49 05
usat.albi@gmail.com
82
Syndicat de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de Tarn-et-Garonne
4, rue Henri Marre BP 818 82008 MONTAUBAN CEDEX
Tél. : 05.63.63.11.64 Fax. : 05.63.63.11.67 E-mail: Boulangerie-b.moretto.syndicat@wanadoo.fr
83
Syndicat des Patrons Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Var
1, quai Belle Rive 83000 TOULON
Tél. : 04.94.46.58.64 Fax. : 04.94.03.31.88
84
Syndicat des Patrons Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Vaucluse
24, rue Pierre Devoluy 84000 AVIGNON
Tél. : 04.90.82.14.89 Fax. : 04.90.14.94.97 E-mail: syndboulangers.84@wanadoo.fr
85
Fédération de la Boulangerie et de la Boulangerie-Pâtisserie Vendéenne
) 67, rue du Clair Bocage Zone de Beaupuy 85000 Mouilleron Le Captif
Tél. : 02.51.47.78.90 Fax. : 02.51.37.69.26 E-mail:  fede-boulangerie85@wanadoo.fr
86
Fédération des Artisans Boulangers, Boulangers-Pâtissiers de la Vienne
13, boulevard Blossac 86100 CHATELLERAULT
Tél. : 05.49.21.03.94 Fax. : 05.49.85.20.94
87
Chambre Syndicale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de la Haute-Vienne
2 bis, rue de l'Observatoire 87000 LIMOGES
Tél. : 05.55.34.15.40 Fax. : 05.55.33.69.04
88
Fédération des Artisans Boulangers et Boulangers-Pâtissiers des Vosges
14, quai Colonel Sérot 88000 EPINAL
Tél. : 03.29.81.22.90 Fax. : 03.29.34.72.43 E-mail: fede.boulangerie88@wanadoo.fr
89
Syndicat des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers de l'Yonne
16 place des Véens 89000 AUXERRE
Tél. 03 86 52 11 20 Fax. 03 86 52 11 20
90
Chambre Artisanale de la Boulangerie de Belfort et du Territoire
5 boulevard Joffre 90000 BELFORT
Tél. : 03.84.21.34.19 ou 03.84.29.29.48 Fax. : 03.84.57.06.64 E-mail: france.secretariat@wanadoo.fr Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir
91
Fédération de la Boulangerie-Pâtisserie de l'Essonne
1 bis, rue Guilloteaux Vatel 78150 Le Chesnay
Tél. : 01.39.23.31.14 Fax. : 01.39.23.26.87 E-mail: maison.boulang789195@wanadoo.fr Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir
92
Chambre Professionnelle des Artisans Boulangers Pâtissiers des Hauts de Seine
7, quai d'Anjou 75004 PARIS
Tél. : 01.43.25.43.50 Fax. : 01.43.29.65.49 E-mail:  contact@boulangerie75.org Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir   Site internet:  http://boulangerie75.org
93
Chambre Professionnelle des Artisans Boulangers Pâtissiers de Seine Saint Denis
7, quai d'Anjou 75004 PARIS
Tél. : 01.43.25.43.50 Fax. : 01.43.29.65.49 E-mail:   contact@boulangerie75.org Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir   Site internet:  http://boulangerie75.org
94
Chambre Professionnelle des Artisans Boulangers Pâtissiers du Val de Marne
7, quai d'Anjou 75004 PARIS
Tél. : 01.43.25.43.50 Fax. : 01.43.29.65.49 E-mail:  contact@boulangerie75.org Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir   Site internet:  http://boulangerie75.org
95
Fédération de la Boulangerie-Pâtisserie du Val d'Oise
1 bis, rue Guilloteaux Vatel 78150 LE CHESNAY
Tél. : 01.39.23.31.14 Fax. : 01.39.23.26.87 E-mail: maison.boulang789195@wanadoo.fr
 

bacterie et virus...

Le monde microbien



Les travaux de Pasteur en France et Koch en Allemagne (19ème siècle) sont à l'origine de la découverte des principales grandes maladies humaines. Aujourd'hui, les grandes épidémies ont pratiquement disparu, mais la chronique est encore défrayée de ces temps "covid" spectaculaires dont les conséquences économiques sont toujours très lourdes ...

. Il existe une variété quasi- infinie de microbes : en hygiène alimentaire, on se préoccupera : des levures, des Moisissures et surtout, des Bactéries.
pas des virus...


dans l'air extérieur, dans l'air des locaux, dans les lieux humides, sur les animaux, dans les aliments liquides, sur les machines, dans les aliments solides, dans les machines, sur l'homme, dans l'eau, sur les vétements
Exemple : 100gde terre = 15 milliards de microbes+ 12 milliards de champignons+ 1 millions de protozoaires.

LA MICROBIOLOGIE ET LA PARASITOLOGIE ALIMENTAIRE
Non visible à l’œil nu. La microbiologie : étude de la vie du monde des Petits. La parasitologie : étude de la vie des parasites (vivant aux dépens de ...)
Entre tous, ils existent 4 familles
1 - Famille des protozoaires
Etres vivants unicellulaires : formés d'une seule cellule
Dépourvue de chlorophylle peuvent vivre sans lumière.
Vivant et se déplaçant principalement dans l'eau.
2 - Algues microscopiques
Etres pluricellulaires qui vivent dans l'eau, généralement sale (la mer est remplie d'algues microscopiques).
3 - Champignons microscopiques représentés sous deux formes.
Champignons pluricellulaires
Moisissures : champignons microscopiques.
Levures : champignons microscopiques unicellulaires de forme ovoïde (oeufs).
Deux types de vie :anaérobique : sans oxygène et aérobie : les levures vivent soit avec oxygène, soit sans.
4 - Les virus : êtres unicellulaires :
Ont comme particularité, de pénétrer dans d'autres cellules vivantes - parasites pour se développer.
Provoquent des maladies à l'homme soit directement par contact soit par des denrées alimentaires. Un parasite (virus) se développe obligatoirement dans une autre cellule. Le contact se fait par contamination de cette cellule. Ex. la grippe transmise par salive ou les éternuements. Le Sida (virus V.I.H.) par le sang.

Relations microorganismes :
1) Symbiose : qui vit avec
2) Parasitisme : qui vit aux dépens de
3) Saprophytisme : qui vit sur les déchets
4) Commensualisme : qui mange à la même table.
1) Symbiose : Association de deux êtres d'espèces différentes pour former une association bénéfique. Ex. Algues microscopiques + champ = lichen.
2) Parasitisme : Association de deux êtres d'espèces différentes dont l'un vit aux dépens de l'autre. Ex. le V.I.M. : le tænia ...
3) Saprophytisme (saprophyte) Monde d'organisme végétaux ou de bactéries qui vivent sur les déchets. ex. Champignons, moisissures, levures.
4) Commensalisme : Mode de vie d'êtres vivants qui trouvent leur nourriture en même temps que d'autres êtres.
Importante notion :
- Pathogène : capacité à se multiplier et à provoquer des maladies.
- Toxique : rapidité à laquelle le germe pathogène provoquera la maladie - Fabrication d'une toxine. T.I.A.C. : toxi infection alimentaire collective.
- Virulent : rapidité avec laquelle la toxine (poison) produit une maladie ) l'intérieur d'un aliment ou d'un organisme vivant.M.I.A. : maladie infectieuse alimentaire.

CARACTÉRISTIQUES DES MICROBES :
Taille : Bactérie de l'ordre du micron (1 micron = 0,001 millimètre)
Si l'on pouvait aligner côte à côte les microbes, savez-vous que :500 000 microbes = 1 mètre
Levures : plus grosses, elles mesurent environ 10 .
Moisissures : ce sont des microbes filamenteux, qui se développent en surface des produits alimentaires.
Forme : Coque ou Cocci : formes rondes en chainettes comme le streptocoque en amas comme le staphylocoque.
Bacille : forme allongée en bâtonnet.
Remarque : certaines familles bactériennes (bacillaceae) peuvent présenter des formes de résistance aux agressions externes. En cas d'agression, elles se transforment en spores qui leur confèrent une résistance particulière à la chaleur.Ainsi, elles pourront rester indéfiniment en état de dormance tant que leur environnement ne sera pas favorable à un développement bactérien.

FONCTIONS DES MICROBES: Les microbes assument les mêmes fonctions que tous les êtres vivants :
Se nourrir - excréter - respirer - se reproduire - se déplacer - mourir Nutrition
Ils se nourrissent essentiellement de la matière organique qui compose les végétaux et les animaux. Nos produits alimentaires seront donc souvent d'excellents aliments pour les bactéries, et donc d'excellents milieux de culture par leur richesse en protéines, lipides, glucides.
Excrétion Certains microbes peuvent libérer des toxines qui vont traverser le tube digestif, passer dans le sang, puis dans les muscles et le système nerveux. Cela peut engendrer des troubles digestifs, des paralysies, des difficultés à respirer (ex. staphylocoque doré, Clostricium botulinum).
Respiration Il existe trois catégories de micro-organismes :
- les germes dits "aérobies" utilisent l'oxygène de l'air pour respirer et synthétiser leur énergie.
- les germes dits "anaérobies" ne supportent pas l'oxygène de l'air qui est un poison pour eux.
- les germes dits "afro-anaérobies" se développent aussi bien en présence qu'en absence d'oxygène. bon il viennent d’Afrique, c'est pour ca!mdr?

MULTIPLICATION:
Dans des conditions favorables (température, humidité, aliments ...), une bactérie se divise en deux bactéries, TOUTES LES 20 MINUTES.
Aussi, à partir d'une bactérie, on obtient:
en 6 heures : la population de Paris
en 9 heures : la population de la France.
La multiplication s'effectue par bourgeonnement ou scissiparité (identique à la levure de boulangerie - saccaromycès)
+ 120° ?Mort de tous les microbes
+ 100°?Mort de certains microbes pathogènes
+ 65° ?Multiplication et toxinogène très intenses
+ 37°?Température corporelle
+ 10°
+ 3°
+ 0°Arrêt de la toxinogénèse
- 18°Multiplication ralentie
- 30° Arrêt de toute multiplication Déplacement
Ils utilisent des vecteurs de déplacements :
- l'air contamination aérienne
- l'eau contamination acqueuse
- support solide contamination par contact Mort
Elle survient lorsque les micro-organismes ont épuisé tous les éléments nutritifs du milieu environnant, ou lorsqu'ils subissent un traitement anti-microbien (traitement thermique, chimique ...).
Rôles des microbes dans les aliments
Tous les microbes ne sont pas dangereux, certains peuvent être utiles :
. dans la nature où ils assurent la destruction des cadavres ;
. dans l'intestin où ils permettent la digestion des aliments.
Dans les aliments, on trouve :
. des microbes banaux qui ne jouent aucun rôle particulier
. 3 autres catégories de microbes qui sont :
Entraînent des maladies infectieuses alimentaires et des toxi-infections alimentaires. Microbes utiles :
- ceux qui donnent la fermentation. Microbes d'altération des aliments nuisibles :
- Entraînent la putréfaction (pourrissement) ou dégradation des produits
- Entraînent le rancissement (matière grasse) + oxydation par l'air. Microbes pathogènes nuisibles :
- conséquence d'altération sur les produits :
- odeurs - forme (texture) — vue — couleurs - goût

Facteurs de développement microbien:
Humidité
La flore microbienne ne peut pas se développer lorsque l'humidité du produit ?est inférieure à 16 %.
Cette humidité favorise les réactions enzymatiques qui dégradent les aliments en protéines, lipides et glucides directement assimilables par les microbes.
C'est pourquoi nos ancêtres utilisaient le séchage pour conserver leurs aliments ?(viande, poisson ...). Les bactéries se développent dans l'eau libre, ce qui entraîne une différence pour la conservation, par ex., du lait de deux à trois jours à la poudre de lait de 2 à 3 années.
Oxygène
Il permet le développement de certaines bactéries, dites aérobies. Il intervient dans la synthèse de leurs éléments constitutifs (cytoplasme ...).
pH (acidité, basicité)
P.H. Potentiel d'hydrogène Les micro-organismes dangereux pour la santé du consommateur ne peuvent se développer en dessous de pH = 4,5.$
Echelle des pH
1 -Estomac (pH 1)
2 - Citron (pH 2,3)
3 - Pamplemousse (pH 3,2)
4 - La plupart des fruits (pH 3 à 4,5)
5 - Eau de mer (pH 5,5)
6 - Salive (pH 6,5) ; eau potable
NEUTRE —
7 - Eau pure - Poissons - Crustacés

TEMPERATURE
- 20° C Les microbes ne se multiplient pas. Ils sont "endormis".
Mais attention, le froid ne les tue pas !
de + 3° C à + 60° C : tous les microbes se multiplients plus ou moins rapidement selon les caractéristiques différentes d'un groupe à l'autre.
de + 4° C à 10° C : psychrophiles
de + 20° C à 45° C : mésophiles
de + 45° C à 65° C : thermophiles. Les bactéries sous forme végétative sont, pour la plupart, détruites en quelques minutes à une température de l'ordre de + 65° C.
Par contre, les spores résistent ?à des températures de chauffage élevées : elles sont détruites après quelques ?minutes à + 115 / + 120°C en milieu humide. Ainsi, la conjugaison de la ?température et du temps de chauffage permet de définir des barèmes de ?pasteurisation ou de stérilisation.
Les températures légales de conservation des aliments (extrait de l'arrêté du 26.09.80).
1 / Denrées réfrigérées
de 0 à + 2°C sous-glace : poissons, crustacés et mollusques autres que vivants
de 0 à + 3°C- plats cuisinés préparés à l'avance au sens de l'arrêté du 26.06.1974 (liaison froide)- pâtisseries, crèmes pâtissières, plats froids préparés le jour même, sandwichs- abats, viandes découpées de boucherie de 0 à + 4°C- volailles, lapins, gibiers- produits de IVème gamme- produits de charcuterie non stables de 0 à 6°C- produits laitiers frais non stérilisés et beurre de 0 à 8°C- fromages à pâte molle et à pâte persillée de 0 à 10°C- toutes les semi-conserves exceptées celles à base de produits de la pêche de 0 à + 15°C- produits de charcuterie stables- semi-conserves de produits de la pêche- fromages en croûte et oeufs de + 5 à + 15° C- huîtres, moules et autres coquillages
2 / Denrées congelées et surgelées Températures maximales de conservation : viandes - 10°C abats, lapins, volailles, gibiers - 12°C beurre - 14°C toute autre denrée congelée et tout produit surgelé - 18°C crèmes glacées- 20°C

CONSERVATION PAR LE CHAUD:
Depuis la fin de la cuisson jusqu'au moment de la remise au consommateur, la température à coeur des plats cuisinés doit constamment être égale ou supérieure à 65°C. la pasteurisation : haute 72°C 2 à 3 min
basse 63/65°C10 mn
flash pasteurisation 95°C pendant quelques secondes la stérilisation U.H.T 140°C quelques secondes
120°C 20 mn concerne principalement toutes les conserves
180°C 30 mn effectuer en chaleur sèche pour les produits médicaux
La maîtrise de la durée de vie des produits:
Les produits alimentaires qui sont vendus préemballés doivent, pour la plupart, porter une date de péremption. Pour les produits très périssables, pouvant présenter un danger pour la santé après une courte période, la date indiquée est : une Date Limite de Consommation (D.L.C.) "à consommer jusqu'au" (jour, mois). La mise en vente ou la détention par un professionnel de la distribution ou de la restauration de denrées alimentaires dont la D.L.C. est dépassée, est sanctionnée par la loi. Pour les autres produits, la date indiquée est : une Date Limite d'Utilisation Optimale (D.L.U.O.) "à consommer de préférence avant ...". L'article 17 du décret du 7.12.1984 précise que la date de péremption est apposée sous la responsabilité du fabricant, sauf dans certains cas où la réglementation fixe une durée de conservation (produits laitiers, plats cuisinés frais, viandes hachées).

MALADIES ET INTOXICATIONS D'ORiGINE ALIMENTAIRE
On distingue :- les intoxications chimique - les maladies d'origine microbienne - les maladies dues aux parasites.
Intoxications chimiques Elles sont principalement dues à la présence de substances chimiques dans les denrées alimentaires :
. Anabolisant (hormones) C'est un médicament administré en élevage aux animaux, qui permet d'augmenter les performances de ces derniers. Cependant, si ces anabolisants ne sont pas dégradés par l'animal, cela peut provoquer des risques pour l'homme, lors de la consommation de certains produits. . Antibiotique C'est également un médicament administré aux animaux pour diminuer l'effet pathogène de certains micro-organismes. Dans le cas où tous ces antibiotiques ne sont pas dégradés par l'animal, cela peut engendrer des réactions allergiques chez l'homme. . Additif Leur emploi repose sur l'utilisation de listes positives (où sont répertoriés les additifs autorisés). Ils peuvent être interdits pour certaines denrées afin d'éviter la formation de complexes chimiques dangereux risque de cancer. . Contaminant C'est une substance étrangère présente accidentellement dans les denrées alimentaires. Ex. métaux lourds (mercure, plomb,...).

Les maladies alimentaires d'origine microbienne:
Ce sont des toxi-infections ou des maladies infectieuses. Les toxi-infections alimentaires. Elles résultent de l'absorption d'un aliment contenant une toxine fabriquée par un microbe. Cette toxine est un poison pour l'organisme de l'être humain. Les principaux microbes provoquant des toxi-infections sont :
Le staphylocoque doré, d'origine presque exclusivement humaine, vit sur la peau, dans la gorge et le nez de nombreuses personnes, au niveau de plaies, furoncles, panaris ... Il se développe dans des produits alimentaires à des températures comprises entre 4 et 46°C. Il secrète alors une TOXINE (substance toxique et antigénique élaborée par la bactérie en question au cours de sa multiplication) dont les effets se font sentir quelques heures après le repas : nausées, vomissements, diarrhées, hypothermie. De plus, cette toxine est THERMORESISTANCE (résiste jusqu'à 120°C).
Le Clostridium perfringens, hôte habituel de l'intestin de l'homme et de l'animal, peut être à l'origine de toxi-infection alimentaire (douleurs abdominales, diarrhées). Il se multiplie à des températures allant de 50°C à 10°C, dans des grosses pièces de viandes cuites en bouillon, plats cuisinés à l'avance, refroidis trop lentement.
Le Clostridium botulinum, responsable du botulisme, souvent mortel, se développe dans des jambons secs mal préparés, des conserves mal stérilisées. Il entraîne des troubles de la vue, assèchement de la gorge et la paralysie de l'ensemlble des muscles (mort par asphyxie).
La Salmonelle est un hôte de l'intestin des animaux (volailles, porcs, ...) et de l'homme (personnes atteintes de salmonellose et porteurs sains ne présentant aucun symptôme). Elle entraîne des diarrhées accompagnées de fièvre et de douleurs abdominales, avec une évolution parfois grave chez des populations sensibles (enfants, personnes âgées).

Les maladies infectieuses alimentaires
L'aliment est, dans ce cas, le support utilisé par les microbes pour pénétrer dans l'organisme, où il va ensuite se multiplier et s'attaquer à certains organes. Parmi ces maladies, on trouve notamment diverses gastro-entérites, les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes, l'hépatite virale, la brucellose et la listériose. La Listériose, d'origine alimentaire, touche principalement :. les individus en état de faiblesse (immuno-déprimés, malades, enfants, vieillards). La maladie se manifeste alors, dans la plupart des cas, par des méningites.. Les femmes enceintes. Elles provoquent alors des avortements ou des méningites et des septicémies chez les nouveaux-nés.La bactérie responsable appartient au genre Listeria qui compte 7 espèces parmi lesquelles la seule pathogène est la Listeria monocytogènes. Maladies alimentaires dues aux parasites Les parasites sont des vers et des protozoaïres ; ils ont généralement une taille supérieure à celle des microbes.Ils pénètrent dans l'organisme par la voie alimentaire, par des piqûres d'insectes ou par les pores de la peau. La plupart des parasitoses sont bénignes, mais certaines d'entre elles sont graves et même mortelles.

Les moyens de prévention pour éviter la contamination des aliments sont :
. Le lavage des mains (certaines personnes sont porteuses de parasites dans leurs intestins).
. La surveillance de l'état sanitaire des animaux par les services vétérinaires dans les abattoirs.
. L'élimination des rongeurs et des animaux domestiques des locaux de stockage et de préparation des aliments.
. L'utilisation de viandes et de poissons congelés (la congélation tue les parasites).
. La bonne cuisson des viandes et des poissons
. le lavage abondant des fruits et des légumes.

colorants et nanoparticules sous surveillances:

Six colorants dans le collimateur de l'Europe
Un colorant, autorisé au niveau européen, est identifié par la lettre E suivi de trois chiffres. Les colorants E100, E101, E101a, E140, E160, E161, E162 et E163 sont, par exemple, présents naturellement dans certains aliments. D’autres colorants dits «azoïques» (à double liaison azote) comportent de nombreux avantages : stabilité chimique (pH et température), intensité de teinte et longue conservation. En comparaison avec un colorant naturel (extrait de plantes ou de fruits par exemple), les colorants azoïques confèrent des COULEURS cinq fois PLUS VIVES aux aliments : on les retrouve souvent dans les parfums « citron », « orange » ou « ananas » des glaces industrielles à l’eau (RIA n°706 – novembre 2009).





Au 10 juillet 2010 un nouveau Règlement de Décembre 2008 concernant ces colorants, imposera la mention « peut avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention chez les enfants » sur les étiquettes des produits alimentaires préemballés. Il faut donc, dès à présent, trouver des alternatives naturelles à ces Colorants azoïques, en lien avec l'Hyperactivité chez les enfants (?). L’Europe avait déjà publié en 2009, un bilan peu brillant sur le surdosage de certains colorants dans les Confiseries.

Liste des SIX colorants azoïques touchés par cette Réglementation:

Denrées alimentaires contenant un ou plusieurs colorants suivants
Code
Couleur
Dose journalière admissible (mg/kg de poids corporel)
Aliments principalement concernés:
------------------------------------------------------------------------------------------------------
Jaune orangé S
E 110
JAUNE orangé
2,5
Confiseries, Sirops, Confitures, Pâtisseries, …
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Jaune de quinoléine
E 104
JAUNE
10
Sodas, Confiseries, Confitures Boissons alcoolisées, …
--------------------------------------------------------------------------------------------------------
Carmoisine
E 122
ROUGE
5
Charcuteries, …
--------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rouge allura
E 129
ROUGE
7
Sodas, apéritifs, Saucisses et Viandes pour hamburger, …
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Tartrazine
E 102
JAUNE
7,5
Boissons, Merguez, Gâteaux, Bonbons ou enrobages de sucreries
--------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ponceau 4R
rouge cochenille
E 124
ROUGE
4
Chorizo, Pâtisserie fraîche ou sèche, Entremets, Fruits au sirop, Confiserie, Chewing-gum, …
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
--
Remarque: seuls les colorants jaunes et rouges sont concernés par ce Règlement de 2008 (et non les colorants bleus, verts, marrons et noirs). Par contre les colorants E123 et E127 sont interdits dans les confiseries et tolérés avec un maximum dans d’autres cas …

L’échéancier des additifs alimentaires (liste non exhaustive) :

20 Juillet 2010 :

Obligation de mention « peut avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention chez les enfants » pour l’étiquetage en cas d’utilisation des six colorants azoïques.
Pour rappel pour le 20 Janvier 2010 :

Mention du nom et du numéro E pour chaque additif alimentaire ou une dénomination de vente comprenant le nom et/ou le numéro E de chaque additif,
Soit la mention « pour denrées alimentaires » soit « pour denrées alimentaires, utilisation limitée » soit une indication plus précise de l’usage alimentaire auquel l’additif est destiné.
Et déjà en vigueur …

Pour les Polyols (édulcorant de masse): la mention « une consommation excessive peut avoir des effets laxatifs » dans le cas où ils ont été incorporés à un taux supérieur à 10%,
Pour l’Aspartame (édulcorant de synthèse): la mention « contient une source de phénylalanine ».

 

 

Le dioxyde de titane interdit au 1er janvier 2020

Suite à la publication d’un avis de l’Anses, le gouvernement a décidé d’interdire le dioxyde de titane dans l’alimentation en France à partir du 1er janvier 2020. En effet, de nouvelles analyses effectuées n’ont pas permis d’écarter le risque cancérigène lié au dioxyde de titane. Cette nouvelle restriction fait partie de la loi Alimentation mais ne concerne pas les cosmétiques (dont le dentifrice) et les médicaments. Cette nouvelle mesure d’interdiction ne s’applique pas aux médicaments puisque, comme le souligne le gouvernement, le bénéfice apporté par les médicaments est supérieur aux risques liés au dioxyde de titane. Certains industriels en alimentaire ont d’ores et déjà annoncé qu’ils retiraient cet additif de leurs produits tandis que d’autres ont mis en place un processus de retrait progressif

 

Une définition européenne de référence des « nanomatériaux » a été récemment établie pour tous les secteurs industriels, alimentaire y compris. Le décret français intitulé « R-Nano » s’est appuyé sur cette définition européenne. Ainsi, certains ingrédients utilisés dans le secteur alimentaire en toute sécurité depuis des décennies peuvent correspondre à cette définition de « substances à l’état nanoparticulaire ».

 

Les ingrédients qui ont été déclarés dans le cadre du dispositif français pour le secteur alimentaire sont principalement des additifs alimentaires. Il est important de préciser que les entreprises agroalimentaires peuvent utiliser ces ingrédients à une dimension différente de l’état nanoparticulaire pour les propriétés évoquées ci-dessous :

  • le dioxyde de silicium (E551) est utilisé comme un antiagglomérant (qui limite la tendance des éléments à se coller les uns aux autres)
  • le dioxyde de titane (E171) et le carbonate de calcium (E170) sont utilisés comme des colorants blancs
  • l’oxyde de fer (E172) est utilisé comme colorant

 

Ces additifs alimentaires sont mentionnés sur l’étiquette des produits dans la liste des ingrédients, conformément à la réglementation en vigueur.

 

Avant de faire des travaux
Vous avez le projet de faire des transformations dans votre Boulangerie, il vous faut respecter quelques règles, pour éviter des complications inutiles.
Tout d'abord, informez par écrit, votre propriétaire, aussi précisément que possible, surtout en cas de modification des locaux ou si vous ajoutez une activité non prévue dans le bail ( restauration rapide, traiteur, salon de thé...) Ensuite, rien ne sert de jouer les invisibles, la réaction des services concernés n'en serait que plus virulente. Formulez votre demande auprès des services de la D.D.A.S.S. en constituant un dossier composé des éléments suivants :
1 - Un plan des locaux en l'état actuel, avant travaux ( à l'échelle du 1/50ème)
2- Un plan d'aménagement détaillé où figureront :
-a) tous les appareils et équipements envisagés
-b) tous les locaux exigibles, à savoir : - le local sanitaire vestiaire pour le personnel - le local de stockage des matériels et produits d'entretien - le fournil - les salles de préparation (boulangerie et pâtisserie séparées) - les locaux ou les matériels de stockage réfrigérés - la paneterie - le stockage des produits d'épicerie destinés à la fabrication - le stockage des farines (vrac ou en sac) - le local plonge pour les ustensiles - le magasin de vente - le stockage des déchets
3- D'un descriptif suffisamment détaillé portant sur les éléments suivants :
-a) alimentation en eau potable (avec protection sanitaire du réseau et production d'eau chaude sanitaire)
- b) équipements sanitaires vestiaires (nombre et nature :WC, lavabos, douches, siphons de sol, etc...)
- c) assainissement des eaux pluviales et des eaux usées (y compris pré traitement)
- d) aération des locaux de toute nature
- e) chauffage des locaux de toute nature
- f) aménagement du local déchets
- g) nature des sols, murs et plafonds des différents locaux
- h) les dispositions relatives aux précautions qui seront prises pour ne pas nuire aux tiers (bruits, odeurs, fumées etc).

Le gluten, pour s’y coller de manière approfondie.

C’est lui qui apporte l’élasticité à la pâte.
C’est grâce à lui, que le corps pâteux emprisonne les bulles de la fermentation panaire
C’est lui que l’on ne tolère pas où que l’on souhaite plus présent.
Dans les liaisons internes de la pâte, il est le plus fort.
Comment vit-il le pétrissage ? Comment vit-il les différentes fermentations ? Deux parcours qui ont des limites à connaître.


Eh, oui ! Autrefois, il arrivait qu’on collait les papiers peints aux murs à l’aide de farine. Les allemands appellent des fois le gluten ; « Kleberstoffe », ce qui traduit textuellement veut dire ; substance collante. Et pour rester dans la linguistique, c’est du latin « colle » que provient le mot gluten. Ce n’est que dans le froment qu’on sait l’extraire par lixiviation (lavage de la pâte sous un filet d’eau), comme l’a fait dès 1745, le médecin de Bologne ( I ), Jacopo Beccari . Pour nous boulanger, c’est cette matière viscoélastique qui donne un « nerf » ou une consistance à la pâte, le pâton ne s’affaisse pas et permet de présenter une mie bien développée. Les bulles de gaz carbonique issues de la fermentation de la pâte pourront restées prisonnières de cette structure mi-solide mi-liquide et ne pas éclater grâce à l’élasticité du milieu pâteux qui l’entourent.

En général, le gluten, issus du collectif des gliadines et gluténines, recouvre ±85% des protéines du froment panifiable, qui elles représentent environ 10 à 12 % de celui-ci , soit sur 1 kilo de farine, 85 à 100 grammes . Les ±15% restants des protéines du froment sont dites « solubles » dans l’eau. Ces protéines, appelées albumines et globulines, sont notamment les composantes des enzymes et sont dites biologiquement fonctionnelle. Ces protéines solubles ont une meilleure valeur nutritionnelle que les protéines non solubles qui constituent le gluten.

Il faut bien dire que si on ne peut contester que le gluten revêt une qualité technologique, sa proportion en quantité n’est pas toujours un critère fiable. Il faut la quantité mais aussi la qualité . C’est pourquoi les recherches se sont affinées en ciblant, le rapport gliadine / gluténine , puis la teneur en gluténines « insolubles » à haut poids molP éculaires , mais sans résultat vraiment probant du moins pour déterminer quel type précis de protéines apportait l’élasticité. Les interactions avec les autres protéines (celles qui contiennent plus d’acides aminés soufrés ), avec les lipides et les pentosanes , orientent aussi la recherche vers la présence nécessaire d’un ensemble, plutôt que la « préciosité » d’une protéine bien spécifique. A ce niveau, la recherche …cherche encore.

Dans ce flou, le choix variétale du semis est l’indicateur le plus sûr de la qualité technologique et de la présence du gluten dans la farine de froment, déclarée alors; panifiable . La culture peut influer aussi. Par exemple; si c’est du froment de printemps, il contient plus facilement du gluten que le froment d’hiver , si la méthode de culture est bien adapté à la variété , si la région est bien appropriée à la variété et encore si la saison a été propice au bon moment. Après le constat de l’état de la récolte, le meunier apportera son professionnalisme par le mélange de variétés en recherchant la complémentarité entre elles

Qu’est ce que ce blé tendre ou froment panifiable qui est « hard » ?
Parfois les boulangers ne savent pas que leur blé est tendre ! C’est simplement parce qu’il existe le blé dur. Ce blé dur est employé pour la pastification (fabrication de spaghetti, macaroni, ravioli, etc…). Le blé tendre en français et en France c’est le froment panifiable. Mais attention ! dans d’autres langues (en anglais et en allemand), ce même blé tendre est dit soit hard/hart (dur) ou soft/weich (tendre). En fait c’est la résistance à la mouture, corollaire à la teneur en gluten qui est forte (hard) ou faible (soft) et permet de classer les froments aux Etats-Unis, au Canada et en Australie. La classification commerciale américaine du blé tendre risque fort de se standardiser vu les réponses que le marché français doit donner à la mondialisation du marché qu’il l’intéresse fortement (50% du froment français est exporté). En tout cas la conduite d’une classification commerciale s’oppose en termes linguistique à une classification qui se voudrait claire au niveau scientifique. Distinguer bien les deux types de classement si par hasard vous avez envie de vous y retrouver.
sur le site ci dessous il y a des tableaux qui explique tout ca http://www.boulangerie.net/forums/bnweb/dt/gluten/glutenacc.php
 

Jusqu’où ira-t-on dans ce chemin vers du froment toujours plus compact et dense, des pâtes issues de ce grain toujours plus riche en ténacité, des protéines toujours plus lourdes , des croûtes et mies toujours plus élastiques ? N’est-on pas en train d’assurer de trop sur ce point, considéré comme étant le meilleur critère de qualité technologique pour le froment, mais pas le seul .

Et puis faut-il s’excuser de penser à un critère de qualité qui ne serait pas technologique mais nutritionnelle. Même si celui-ci va à l’encontre de cette demande croissante de gluten et par conséquent des froments résistants (hard) .
La problématique de l’apport d’engrais azotés du type nitrates, pour procurer de l’azote végétal (les protéines), n’est pas sans conséquence. Tout d’abord, la migration des excédents d’apports de nitrates, va enrichir la déjà trop forte teneur en nitrates des réserves d’eaux souterraines. Résultat, une eau de consommation qui a et surtout aura des difficultés à rester potable.
N’oublions pas cela au risque de ne plus avoir une céréaliculture durable (Voir chapitre Culture et chapitre Eau). Autre aspect critique de l’intensification de la fumure azotée, plus les nitrates ou autres engrais azotés ne parviennent pas à être protéosynthétisés, plus ils créent des niches à pucerons et autres pestes, ces derniers voyant dans ces acides aminés libres, du pain béni .

Pourquoi prendre ces risques, surtout que quand on n’intensifie pas , par exemple en agriculture extensive (biologique, notamment), la qualité du gluten moins abondant en quantité donne le même résultat technique avec 2% en moins. Ce que quelques études démontrent . Il semble mieux synthétisé dans la plante . Pensons également en tant que boulanger, que la pratique des pré-pâtes (ex. : poolish & levain) est moins exigeante en gluten .

Dernier argument, regardons ensuite la teneur en acides aminés, les plus petites portions des protéines une fois dégradées par les fermentations et la digestion, celles qui ainsi réduites « passent » comme nutriments. Plus l’apport d’engrais azotés est tardif , plus la teneur en gluten en profite , et corollairement plus la teneur en lysine est réduite. Et c’est justement l’acide aminé essentiel et limitant qui est atteint. Or la teneur en lysine est déjà peu avantagée dans les céréales par rapport aux légumineuses et à la viande.
Elle l’est encore plus lorsque celles-ci sont panifiées, parce que la cuisson va encore la réduire. Liée avec des sucres, la lysine va être la composante de la croûte, ( par la réaction de Maillard ) devenant ainsi moins assimilable en termes nutritionnels .

Principe des acides aminés essentiels
Il s’agit des acides aminés qui doivent venir par l’alimentation et qui ne sont pas synthétisés dans le corps
Principe du facteur limitant
L’absence dans l’alimentation d’un seul des acides aminés empêche la synthése protéique de tous les autres acides aminés et entraîne la négativation du bilan azote.

 

chapitre pétrissage:
il est bien certain que la « prise de force de la pâte » (l’effet du gluten), se répartit entre deux opérations de la panification ; le pétrissage et la fermentation, deux opérations oxydantes.

En préliminaire à ces deux étapes, il arrive souvent sur farine blutée, qu’une oxydation de la farine aie lieu . Au pétrin, nous boulangers, on va apporter de l’eau, du mouvement et par celui-ci de l’air.


Les protéines solubles dans l’eau seront vites dissoutes et dispersées. Les protéines insolubles , elles vont avoir besoin de se dérouler, de s’étirer.

Au premier moment du mélange (la frase), on devra éviter de « casser le nerf » ou « brûler » la pâte, c.à.d. ; faire un mélange trop ferme, cassant, déchirant la cohésion pâteuse.
Il faudra apporter une aisance pour que comme « les vagues qui balayent les algues au littoral », les protéines recroquevillées en petites pelotes se déroulent en filaments presque parallèles par les mouvements du bras pétrisseur.
Un trop long pétrissage va « fluidifier » le gluten. C’est l’observation que l’on peut remarquer lorsqu’accidentellement on surpétrit . Les protéines sont des chaînes d’acides aminés promptes à établir des liaisons entre elles suivant les acides aminés qui les composent.
Ceux qui aiment l’eau (hydrophyles ), ceux qui repoussent l’eau (hydrophobes ) et qui se rapprochent entre eux, ou d’autres types de liaisons .
Les plus fortes liaisons et aussi les mieux repérées par les études, sont celles qui s’établissent (après oxydation) entre deux atomes de souffre.
Avec les apports du mouvement, tout est en place pour se lier et se délier. La description de la vie du gluten au pétrissage peut se résumer par la figure 3 et ne sera pas plus longue, puisque je vous convie à un pétrissage court, mais bien supplémenter par des temps de pause et de rabat ou la fermentation va jouer son rôle .
FIGURE 3 : Les chaînes de protéines se lissent et
s'alignent par les mouvements du pétrissage




___a la fin___au debut__
pendant le petrissage____

Durant la fermentation de la pâte, une oxydation va se réaliser. Pour parler comme un chimiste ; l’atome d’hydrogène qui se libère (l’oxydation) va permette entre autres, à deux atomes de souffre de se « souder » entre-eux.
Cela va créer un lien jeté comme un ressort élastique entre deux chaînes de protéines, lien que l’on appelle « pont dissulfure » (voir figure 4).


FIGURE 4 :
Les ponts dissulfures sont le lien entre 2 chaînes de protéines établi par 2 atomes de souffre.


Pour parler comme un boulanger, lorsqu’on « rabat » une pâte « mise en planche » pâte attrape un « nerf », elle se lie.

Cette « prise de force » sera surtout réalisée lors de la fermentation en masse de la pâte ; le pointage. Ce mot va bien prendre tout son sens « de mettre à point » de chercher la maturité voulue. La fermentation en masse de la pâte est dite aussi ; première fermentation. La deuxième fermentation, est appelée, l’apprêt. Dans ce mot existe encore une notion de maturité à évaluer.

En fonction de la qualité de la pâte (implicitement de la farine) et en fonction du type de pain que l’on veut obtenir , on mettra en œuvre un diagramme de fermentation (répart ?ition de la durée de fermentation entre le pointage et l’apprêt). La maturation de la première fermentation nous fait découvrir la prise de force.
La maturation de la deuxième fermentation est là pour profiter de la force de la pâte, pour préparer au mieux la grigne.
Dans l’apprêt, il faut que la pousse ne soit pas à son maximum afin que le pâton puisse encore « donner » et « faire sa force » au four, à l’endroit où on a appliqué la « signature ».
Ce crantage aidera le pâton à « s ‘éclater ». A nous de bien faire en sorte que le gluten s’exprime.
trop de fermentation tue la fermentation:
Autant une fermentation va apporter une « prise de force », autant elle peut la détruire, si on va trop loin en durée (ou maturation) de la pâte. Le gluten dans son élasticité va se détériorer assez vite , surtout si l’on active la fermentation, soit à cause de trop forte doses d’ensemencement de ferment, soit avec des températures trop chaudes .
En fermentation levurée, du fait de l’ensemencement concentré en microorganismes (voir chapitre ; Fermentation ) que l’on ajoute à la pâte, on peut très vite accélérer la maturation de celle-ci qui s’embriquent dans un processus ininterrompu de dégradation des éléments de la pâte.

Si la dégradation au départ est utile pour la prise de force, elle devient destructrice en se poursuivant trop loin. Que se passe-t-il ? Il est simple de comprendre que la levée de la pâte qui est une oxydation va « étirer » le ressort jusqu’à ce qu’il casse.
On peut aussi l’expliquer par un exemple vécu dans la technique para-boulangère. Dès le début des années 1990, la proposition commerciale d’utilisation de levures désactivées est là pour lutter contre l’excédent de force , mais aussi pour pallier à la rapidité du travail (rétrécissement des espaces fermentation et suppression des temps de « détente » de la pâte).
Qu’est la levure désactivée si ce n’est qu’une levure morte qui laisse passer à travers ces membranes des ions - GS – (de la figure 5 ), appelé le glutathion.
Cette matière ira notamment se fixer sur les ions de souffre des molécules d’acides aminés et cassera le « pont dissulfure » (voir : Figure 4)
FIGURE 5 :

Le glutathion -GS- de la levure désactivée va insérer une atome H entre les 2 atomes de souffre et fait « sauter » le pont dissulfure.


Si la fermentation levurée du fait qu’elle est exogène (apporté par ajout exterieur) permet de mathématiser ses diagrammes, la fermentation spontanée d’un levain naturel se soumet plus aux aléas de l’environnement. Par la baisse de l’acidité ou mieux dit scientifiquement du pH (= pouvoir d’Hydrogène), l’activité de l’enzyme dégradant les protéines (l’aspartyl-protéase) se trouvant dans la farine, sera plus forte .
En plus les bactéries lactiques ( microorganismes du levain) produisent leurs propres protéases .
Ces deux actions de dégradation vont faire perdre au gluten son élasticité allant jusqu’à la liquéfaction .

Et c’est vrai que le praticien qui va trop loin en fermentation levain voit son pâton perdre toute sa plasticité. Ainsi les protéines du gluten se transformeront en acides aminés du gluten, soit perdre leur fonction technique mais gardé et même bonifier leur fonction nutritive.
Mais comme nous le disions cela n’est pas forcément intéressant pour le boulanger dans la panification.

  • les fruits oléagineux:


Attention : les fruits oléagineux mal conservés (température, humidité etc...) peuvent être contaminés par des aflatoxines. Assurez vous de la qualité des produits que vous consommez

 


L'aflatoxine: est une mycotoxine produite par des champignons proliférant sur des graines conservées en atmosphère chaude et humide. Elle est nuisible aussi bien chez l'homme que chez l'animal, et possède un pouvoir cancérigène élevé. Elle fut découverte en 1960 en Angleterre.

 

Effets généraux des aflatoxines:
De très nombreux produits alimentaires destinés à l’homme ou aux animaux peuvent contenir des aflatoxines en quantité parfois importante : graines d’arachides, maïs (en grain, ensilage, …), blé, céréales diverses, amandes, noisettes, noix, pistaches, figues, dattes, cacao, café, manioc, soja.... Les aflatoxines B1 et B2 (AFB1 et AFB2) sont les plus couramment rencontrées dans les aliments. Métabolisées par diverses enzymes microsomiales les aflatoxines sont éliminées sous forme glycurono et sulfo conjuguées par voie urinaire, par le lait ou la bile. Lors de la métabolisation des aflatoxines, certains dérivés époxydés hautement réactifs peuvent apparaître. Fortement électrophiles ils réagissent avec les groupements nucléophiles de l'ADN en s'intercalant entre les bases ou des protéines. Les aflatoxines ont de ce fait un fort effet tératogène et peuvent à hautes doses entraîner la mort en quelques heures à quelques jours selon la dose et la sensibilité de l'animal. Elles ont par ailleurs un rôle sur les phosphorylations et la lipogenèse, ainsi que des propriétés immunosuppressives. Enfin, les aflatoxines sont reconnues comme étant les plus puissants cancérigènes naturels. L’intoxication aiguë par les aflatoxines se traduit par la mort en général avec parfois des symptômes de dépression, anorexie, diarrhée, ictère ou anémie. Les lésions essentiellement hépatiques (nécroses, cirrhose) évoluent à long terme en hépatome ou carcinome. Les formes chroniques d’aflatoxicose se traduisent par une baisse des performances pour les animaux d’élevage, une anémie, un ictère léger et une évolution cancéreuse à terme. La présence de mycotoxines dans les aliments pose de gros problèmes d’hygiène publique et de santé animale. L'AFB1 est considérée comme la plus toxique des aflatoxines.

Législation et protection:
Beaucoup de pays à travers le monde ont établi des normes sur la quantité maximale d’aflatoxines qui doit être retrouvée dans la nourriture. Parmi les plus sévères on retrouve l’Union Européenne avec une limite de 2 ug/kg d’aflatoxines dans les arachides, les noix, les fruits séchés et les céréales. Cette législation a été émise en 1998 et permet entre autres d’assurer que la consommation de ces produits permet de ne pas atteindre une quantité nocive d’aflatoxine quotidiennement, soit de 253 à 441 ng/kg, selon une étude américaine. Au Canada et aux États-Unis, on retrouve des normes moins sévères. Des normes sont aussi établies sur la quantité d’aflatoxines retrouvées dans la nourriture donnée à du bétail. Celles-ci sont de 20 ug/kg au Canada, tandis qu’aux États-Unis, elles varient de 20 à 300 ug/kg[4],[7].
 

  • les produit laitiers:

 

Le staphylocoque chez l’homme

_Le staphylocoque est l’hôte naturel de la peau et des
muqueuses, on le trouve principalement chez l’homme
au niveau des fausses nasales, de la gorge, du cuir chevelu,
des mains et de l’intestin. Il passe inaperçu chez les porteurs
sains, il peut provoquer des intoxications alimentaires par
ingestion des toxines qu’il secrète lorsqu’on le trouve en très
grand nombre. Il déclenche nausées, vomissements, diarrhées
voire des conséquences plus graves chez les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes






 

  • les microbes en generale:


Qu'est-ce qu'un microbe ? Qu'est-ce que la désinfection ?
Dans quel but ?

Le mot microbe recouvre un monde très organisé d'êtres unicellulaires autonomes visibles seulement au microscope. Parmi les microbes, on trouve :

- Les bactéries (1/1000 x 2/1000 mm) en forme de bâtonnets (bacilles), de grains (coques) parfois regroupés en chaînes (streptocoques) ou en grappes (staphylocoques).

Dans 1 mm3, soit un cube de 1 mm de côté, on pourrait théoriquement entasser 500.000.000 de bacilles (cela s'écrit 5 x 108 ).

- Les moisissures se présentent sous forme de feutre composé de filaments du micro-organisme. Elles font partie du groupe des champignons. La partie visible à l'œil, d'aspect blanc ou coloré diversement, est la partie reproductrice produisant les "graines" qui favorisent la dissémination.

- Les levures sont des champignons qui ont une forme sphérique monocellulaire au lieu de filaments.

- Les algues qui seraient assez proches des bactéries, sinon qu'elles possèdent de la chlorophylle.

- Les virus, particules mille fois plus petites que les bactéries, visibles seulement au microscope électronique.

Les virus ne peuvent se reproduire et se multiplier que dans des cellules animales ou végétales vivantes . Ils ne sont donc pas autonomes. Ils sont importants en élevage et aussi dans la vie courante en ce qui nous concerne, car ils sont les agents de nombreuses maladies, mais leur intérêt est nul dans l'industrie agro-alimentaire.

Les Microbes:

Les microbes peuvent être :

a) Utiles : dans la fabrication de la bière, du pain, du vin, du fromage, des yaourts, des antibiotiques, etc...
Le développement du bioengineering et les manipulations génétiques laissent prévoir que l'utilisation des microbes pour la production d'innombrables produits, peut être envisagée.

b) Neutres : jamais tout à fait car il faut bien qu'ils se nourrissent. S'ils digèrent les détritus dans le lit bactérien d'un centre d'épuration, ils sont utiles, s'ils se trouvent sur un aliment, ils le dégradent : ils sont nuisibles.

D'autre part, certains genres peuvent être neutres à certains moments, dans certaines situations, pour devenir nuisibles à d'autres comme le colibacille qui est un hôte permanent du gros intestin, où il est inoffensif, provoque une infection sérieuse des reins et du système urinaire quand il passe dans le sang.

c) Nuisibles : il y a lieu de distinguer ici où s'exerce la nuisance. S'ils s'attaquent aux aliments, ils sont seulement nuisibles. S'ils s'attaquent à l'homme et aux autres êtres vivants du règne animal ou végétal : ils sont dits pathogènes.

Les premiers, s'attaquant aux aliments, peuvent simplement les détériorer, diminuant leurs qualités gustatives, odorantes, allant même jusqu'à la putréfaction.

On peut dire que tous les microbes en sont capables avec, pour quelques uns, des " spécialités" comme le verdissement du jambon cuit, le poissage du saucisson sec, l'aigrissement du vin, le filage du pain.

Les seconds s'attaquent aux êtres vivants. Leur nocivité peut provenir :

a) De toxines endogènes ou exogènes (excrétées dans le milieu) : le staphylocoque par exemple.

b) De leur grand nombre : les salmonelles par exemple.

Les bactéries se multiplient par division binaire, c'est-à-dire qu'une bactérie en donne deux qui, à leur tour, vont en donner quatre, etc. Dans un milieu éminemment favorable comme la viande hachée, cette multiplication se produit :


________________________________

Toutes les 20 minutes à 20°C
Toutes les heures à 10°C
Toutes les 4 heures à 5°C
Toutes les 5 heures à 4°C
Toutes les 8 heures à 1°C
Toutes les 12 heures à 0°C

Or, les normes vétérinaires imposent la saisie quand le nombre de microbes " tout venant" dépasse 1.000.000/gramme. Au bout de combien de temps, atteindrons-nous cette limite ?

Au bout de 20 multiplications : 220 = 1.048.576

c'est-à-dire : 6h40 à 20°C
20h à 10°C
3 jours 8h ( 80h) à 5°C
4 jours 4h (100h) à 4°C
6 jours 16h (160h) à 1°C
10 jours à 0°C


En supposant qu'il n'y ait qu'une bactérie par gramme au départ, ce qui est rarement le cas. Ce qui veut dire que ces temps sont des maxima.


Tout le problème de la distribution des produits alimentaires est là.

- Une contamination bactérienne la plus faible possible
- Une température la plus proche de 0°C possible


Dans la chaîne de distribution, heureusement, certaines étapes sont "assainissantes". Ce sont par exemple, l'abattage qui sépare la peau, les entrailles des masses musculaires. Cette opération, si elle est bien faite, est assainissante. De même, en deuxième transformation, la cuisson bien menée d'un pâté ou d'un jambon réduit considérablement le nombre de microbes.

Dans des processus de fermentation, la pullulation des bons ferments (levures) fait disparaître les mauvais qui n'ont plus de place pour vivre et se développer .

Mais ceci ne suffit pas. A des étapes bien définies de la chaîne qui va du producteur au consommateur et que nous pouvons schématiser ainsi :

Producteur ¾® 1èretransformation¾ ® 2ème transformation¾® Distribution¾® Consommateur (ex : agriculteur : orge)¾ ® Malterie ¾® Brasserie¾® distribution¾® Consommateur

il faut désinfecter à chaque étape.

La désinfection est un système (produits + moyens) visant à réduire la contamination microbienne à un niveau minimal et " contrôlable " (système H.A.L.L.P.).

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bonjour ou bonsoir a vous!

je suis pour la premiere fois de ma carriere, disponible tres souvent... ne travaillant pas les dimanche et finisant a 11h tous les jours... je peux venir pour des extras si vous avez besoin, ou de la mise en place. remplir les congele ...

votre probleme peux etre une solution! appel pour en parler, surtout si vous etes dans les vosges! en ce moments c'est promotion, mdr, bonne continuation!